Elaborer et valider un plan d’action triennal. C‘est l’objet de l’atelier organisé par le ministère de la Famille de la femme et de l’enfant et de la solidarité à Grand Bassam depuis, hier à travers l’Observatoire et de la solidarité et de la cohésion sociale dirigé par M Coulibaly Mamadou. Pour Mme Anne Ouloto, ministre en charge du département ci-dessus cité, « il y a exigence de faire des valeurs de solidarité, de cohésion des piliers de la Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 ». Aussi ces axes majeurs qui s’inscrivent au cœur de la politique du chef de l’Etat et du Programme national de développement (Pnd) selon elle doivent engager la responsabilité de tous les Ivoiriens. Malgré l’existence d’un cadre institutionnel et de promotion de la solidarité et de la cohésion avec des instruments comme, la direction nationale de la solidarité ou la journée nationale de la solidarité, il importe d’exiger ces deux notions à la gouvernance locale et nationale pour modifier le rapport de l’Etat avec le citoyen, pour que l’autre devienne tout simplement moi. En tout état de cause, Anne Ouloto a souhaité que cet atelier qui s’achève demain, « permettent aux acteurs et aux Gouvernement d’avoir une véritable organisation d’éveil politique, économique, sociale, culturelle et morale, un outil d’anticipation». Bref, un outil qui permette de définir les indicateurs de solidarité et de cohésion sociale pour la conduite des politiques nationales, un outil de soutien, d’encouragement des politiques de recherche sur la solidarité et la cohésion sociale.
DS
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