Abidjan -Le juge d’appel a confirmé mercredi la peine de six mois de prison ferme et de 12 mois d’interdiction de paraître sur le territoire national à l’exception de son village natal infligée au secrétaire général du Front populaire ivoirien, Laurent Gbagbo, par le tribunal de première instance d’Abidjan le 31 août.
"Condamner Laurent Akoun, un homme politique, à 12 mois d’interdiction de paraître sur le territoire national est une grave atteinte à ses droits fondamentaux", a rouspété son conseil.
Pour Me Dako Toussaint, cette peine constitue un "assassinat politique du SG par intérim du FPI".
M. Laurent Akoun qui devra recouvrer la liberté le 28 février prochain, va être obligé de mener ses activités politiques dans son village natal de Memni, dans le département d’Alépé, à une cinquantaine de km d’Abidjan.
Interpelé le 26 août au corridor d’Adzopé alors qu’il se rendait à une réunion politique, Laurent Akoun a été condamné en première instance pour des faits d’atteinte à l’ordre public, rappelle-t-on.
(AIP)
kp
"Condamner Laurent Akoun, un homme politique, à 12 mois d’interdiction de paraître sur le territoire national est une grave atteinte à ses droits fondamentaux", a rouspété son conseil.
Pour Me Dako Toussaint, cette peine constitue un "assassinat politique du SG par intérim du FPI".
M. Laurent Akoun qui devra recouvrer la liberté le 28 février prochain, va être obligé de mener ses activités politiques dans son village natal de Memni, dans le département d’Alépé, à une cinquantaine de km d’Abidjan.
Interpelé le 26 août au corridor d’Adzopé alors qu’il se rendait à une réunion politique, Laurent Akoun a été condamné en première instance pour des faits d’atteinte à l’ordre public, rappelle-t-on.
(AIP)
kp