ABIDJAN -- Les élections régionales et municipales couplées en Côte d’Ivoire auront lieu le 21 avril, a annoncé le gouvernement à l’issue d’un conseil des ministres mercredi à Abidjan.
Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, la campagne pour ces élections, reportées une première fois en raison de discussions du pouvoir avec l’opposition, va se dérouler du 5 au 19 avril.
"Ces élections sont ouvertes à toutes les sensibilités politiques du pays", a souligné le porte-parole du gouvernement.
Bruno Koné a souhaité "la participation de tous les partis politiques", estimant qu’avec le report "les préoccupations des uns et des autres ont été prises en compte".
Lors du récent "dialogue politique" avec le gouvernement, le principal parti de l’opposition, le FPI (Front populaire ivoirien de Laurent Gbagbo), a assuré sa participation à ces élections dès la "satisfaction significative" par le gouvernement de ses préoccupations, principalement l’amnistie et la mise en place d’ une nouvelle Commission électorale indépendante (CEI).
"Le gouvernement, tout en admettant le principe et la nécessité d’une réforme en profondeur de la CEI, a fait noter qu’une telle initiative, à l’heure actuelle, retarderait l’organisation des élections locales en raison des contraintes que cela impose, cependant, il a marqué sa bonne disposition à envisager le relèvement en nombre de la représentation de l’opposition au sein de la CEI dans sa configuration actuelle", selon le rapport de synthèse du "dialogue gouvernement-FPI" rendu public le 31 janvir.
Sur l’amnistie, autre point encore en négociation, le FPI pense que "c’est la pierre d’angle de la réconciliation nationale et de l’avancée des négociations pour un retour à la normalité définitive" en Côte d’Ivoire.
Au contraire, le gouvernement suggère que l’amnistie ne peut constituer que "le couronnement d’un processus qui devra franchir les étapes suivantes, la justice, la repentance et le pardon".
Les deux parties ont convenu de créer un cadre de concertation pour approfondir la réflexion sur la question de l’amnistie.
Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, la campagne pour ces élections, reportées une première fois en raison de discussions du pouvoir avec l’opposition, va se dérouler du 5 au 19 avril.
"Ces élections sont ouvertes à toutes les sensibilités politiques du pays", a souligné le porte-parole du gouvernement.
Bruno Koné a souhaité "la participation de tous les partis politiques", estimant qu’avec le report "les préoccupations des uns et des autres ont été prises en compte".
Lors du récent "dialogue politique" avec le gouvernement, le principal parti de l’opposition, le FPI (Front populaire ivoirien de Laurent Gbagbo), a assuré sa participation à ces élections dès la "satisfaction significative" par le gouvernement de ses préoccupations, principalement l’amnistie et la mise en place d’ une nouvelle Commission électorale indépendante (CEI).
"Le gouvernement, tout en admettant le principe et la nécessité d’une réforme en profondeur de la CEI, a fait noter qu’une telle initiative, à l’heure actuelle, retarderait l’organisation des élections locales en raison des contraintes que cela impose, cependant, il a marqué sa bonne disposition à envisager le relèvement en nombre de la représentation de l’opposition au sein de la CEI dans sa configuration actuelle", selon le rapport de synthèse du "dialogue gouvernement-FPI" rendu public le 31 janvir.
Sur l’amnistie, autre point encore en négociation, le FPI pense que "c’est la pierre d’angle de la réconciliation nationale et de l’avancée des négociations pour un retour à la normalité définitive" en Côte d’Ivoire.
Au contraire, le gouvernement suggère que l’amnistie ne peut constituer que "le couronnement d’un processus qui devra franchir les étapes suivantes, la justice, la repentance et le pardon".
Les deux parties ont convenu de créer un cadre de concertation pour approfondir la réflexion sur la question de l’amnistie.