ABIDJAN -- Le Front populaire ivoirien ( FPI, parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo) a indiqué vendredi à Abidjan qu'il ne prendra pas part aux élections municipales et régionales fixées au 21 avril.
Selon le porte-parole de cette formation politique Richard Kodjo, cette date a été fixée sans concertation avec le FPI.
"Alors que les discussions sont en cours, le gouvernement prend la décision de donner une date de manière unilatérale", a noté en substance M. Kodjo.A en croire celui-ci, le FPI est toutefois disposé à revoir sa position si le scrutin est reporté.
Le compte à rebours a commencé pour les élections locales qui s' inscrivent dans le cadre du processus de démocratisation du pays.
Sollicité à plusieurs reprises pour participer au scrutin, le parti de Laurent Gbagbo, tout comme d'autres partis politiques proches de l'ancien chef d'Etat, ont posé des préalables pour leur participation, à l'exemple de la restructuration de la Commission électorale et du vote d'une loi d'amnistie pour les détenus pro- Gbagbo.
Le FPI boycotte ainsi les élections municipales et régionales d' avril 2013, après avoir boycotté les élections législatives de décembre 2011.
Selon le porte-parole de cette formation politique Richard Kodjo, cette date a été fixée sans concertation avec le FPI.
"Alors que les discussions sont en cours, le gouvernement prend la décision de donner une date de manière unilatérale", a noté en substance M. Kodjo.A en croire celui-ci, le FPI est toutefois disposé à revoir sa position si le scrutin est reporté.
Le compte à rebours a commencé pour les élections locales qui s' inscrivent dans le cadre du processus de démocratisation du pays.
Sollicité à plusieurs reprises pour participer au scrutin, le parti de Laurent Gbagbo, tout comme d'autres partis politiques proches de l'ancien chef d'Etat, ont posé des préalables pour leur participation, à l'exemple de la restructuration de la Commission électorale et du vote d'une loi d'amnistie pour les détenus pro- Gbagbo.
Le FPI boycotte ainsi les élections municipales et régionales d' avril 2013, après avoir boycotté les élections législatives de décembre 2011.
