Sur convocation du délégué départemental du PDCI-RDA de Gagnoa, Pr Maurice Kakou Guikahué, les secrétaires généraux de section, les présidents des comités de base, les responsables du PDCI de la sous-préfecture de Guibéroua, se sont réunis au foyer des jeunes de ladite commune. L’ordre du jour a porté essentiellement sur les prochaines élections municipales et régionales à venir dans la région du Goh. Le ministre Guikahué en a profité pour présenter les candidats de son parti, le PDCI-RDA. Il s’est adressé aux militants, les candidats aussi.
Introduisant la réunion, le délégué Guikahué a donné l’ordre du jour. "L’Ordre du jour unique de notre réunion, c’est : La participation du PDCI aux élections municipales et régionales couplées dans le Goh. On passera sans doute aux divers. Mais il faut s’en tenir à l’organisation des élections", a-t-il dit d’emblée. Il a ajouté que "je vous ai convoqués en tant que responsables des structures de bases du PDCI et des mouvements de soutien. Je voudrais vous demander de faire passer le message que nous allons vous confier à vos différentes sections et bases. Faites le compte rendu (…)".
Ensuite le ministre Guikahué a donné des informations relatives à ces élections. "Depuis le 20 février, on a dit de déposer les dossiers de candidatures. Les dossiers de Guibéroua, pour la commune ont été déposés à la CEI. Donc on revient plus en arrière. Vous vous êtes engagés. Pour la régionale, vous avez dû entendre qu’on va aller en RHDP. Je peux vous dire aujourd’hui qu’il y a 24 régions sur les 31 où c’est possible. Il y a 7 régions où on nous dit d’y aller séparément. Gagnoa fait partie des 7 régions où on ne va pas en RHDP. Le président Bédié a donc demandé qu’on dépose tous les dossiers des municipales à la CEI. Nous avons commencé à les déposer, parce qu’après le 10 mars, on ne prend plus de dossier. Donc les choses sérieuses vont commencer (…). Nous sommes arrivés à une phase où l’amusement n’est plus permis", a-t-il précisé.
Le N°3 du PDCI-RDA n’a pas manqué de donner quelques conseils aux militants avant de les mettre en mission de rapprochement et de réconciliation avec des militants du FPI. "Nos amis du FPI ont dit qu’ils ne sont pas prêts, donc ils ne vont pas aller aux élections. Donc, il y a deux gros poids lourds : le PDCI et le RDR. Je voudrais donc vous dire que la politique est une question d’opportunité. Et je le dis haut et fort, s’il n’y avait pas eu de coup d’Etat, le FPI n’allait jamais arriver à la présidence de la République. Le coup d’Etat a créé les conditions pour que le FPI soit au pouvoir. Aujourd’hui, le FPI dit qu’il ne va pas aux élections. C’est donc une circonstance créée pour que le PDCI prenne tous les postes électifs. L’occasion nous est donné de nous activer. En son temps, le FPI n’a pas dit parce qu’on a fait coup d’Etat contre le PDCI donc on ne va pas aux élections. Ils sont partis et ils ont gagné. Il faut donc se battre comme s’il y avait beaucoup d’adversaires pour qu’on gagne avec brio et panache. Le taux de participation doit monter. Je vous donne à tous donc un message, surtout les présidents de comité de base. Vous savez très bien qu’en 1990, tout le monde était PDCI. Et puis on a dit qu’on veut faire une vraie démocratie, alors le FPI est sorti du PDCI. Il y a nos parents parmi nous qui sont devenus FPI et beaucoup de parents aussi étaient restés PDCI. Et puis en l’an 2000, notre frère est devenu président de la République. Ceux qui étaient déjà FPI sont restés FPI. Et il y a eu une autre vague de nos parents qui étaient PDCI, parce que notre frère est devenu président, ils sont partis au FPI. Donc ceux qui étaient restés PDCI jusqu’en 1999 et qui sont parti au FPI parce que leur frère est devenu président de la République, vous devez aller vers eux, chacun dans sa maison pour leur dire que notre frère-là n’est plus président. Donc revenez à la maison et puis nous allons ensemble continuer notre PDCI parce que la raison pour laquelle vous étiez partis n’existe plus. Notre frère n’est plus président. Pour cela, je vous mets en mission (…). Ne vous moquez pas d’eux. Ça ne sert à rien de tirer sur un corbillard. Le FPI n’est pas notre adversaire, il ne faut pas insulter ses militants. Il faut aller vers ceux parmi eux qui pensent au développement de leur commune et de leur région pour les joindre à nous, pour qu’ils reviennent à la maison".
Après quoi, il a présenté les candidats du PDCI-RDA aux élections locales. "Je suis venu vous confier la campagne d’un de nos frères, Ziallo Blé Daniel. Il était policier donc on ne le voyait pas trop. Maintenant, il n’est plus policier. Il est libre de faire la politique et mener des actions de développement. C’est lui que le Président Bédié a choisi pour être le maire de Guibéroua. C’est lui qui est donc notre candidat. Son directeur de campagne s’appelle Yoro Joachim, ancien maire de Guibéroua. Qu’il montre à son frère comment il a fait pour gagner en son temps. Qu’il montre le chemin de la victoire à notre candidat. Je vous confie donc Ziallo qu’il devienne maire de Guibéroua.
Cependant, il y aura deux urnes le 21 avril prochain quand vous aller voter. Il y en aura une pour la mairie et une autre pour le Conseil régional. Et pour la régionale du Goh, c’est Djédjé Bagnon Joachim qui est le candidat également choisi par le Président Bédié. Donc si Yoro Joachim bat la campagne de Ziallo dans la commune, il bat en même temps celle de Djédjé Bagnon. Pour la régionale dans les villages et sous-préfecture de Guibéroua, ce sont Djédjé Koré Pierre et Zakéhi Michel qui sont chargés de faire la campagne de Djédjé Bagnon. Il faut donc sortir massivement pour voter. Si le FPI n’est pas là, c’est le PDCI qui doit gagner. Moi-même, je suis le Directeur central de campagne de tous les candidats. Donc vous aller aussi me voir tourner et sensibiliser pour qu’au soir du 21 avril prochain, le PDCI ait la victoire avec panache", a dit Maurice Kakou Guikahué avant de donner la parole aux candidats et à l’assistance.
Pour Ziallo Blé Daniel, candidat à la mairie de Guibéroua : "Je voudrais remercier le professeur Maurice Kakou Guikahué. Il est au départ et à l’arrivée de la recherche du bonheur dans la région du Goh. Bien qu’il soit la troisième personnalité du PDCI-RDA, il s’est mis à la disposition du Goh pour nous permettre d’avancer. Nous avons besoin de vous tous, quel que soit le parti auquel vous appartenez, pour qu’ensemble nous avançons. Parce qu’il s’agit de développement et de partage. Il y va de l’avenir de Guibéroua et de la région du Goh. Nous devons relever le niveau social de notre commune et de notre sous-préfecture. Merci donc à vous qui nous assistez et nous aidez pour la réussite de cette mission sociale. Le ministre Guikahué est convaincu de notre victoire. Suivons le pour que nous sortions vainqueur dans cette nouvelle épreuve", a-t-il.
Quant à Djédjé Bagnon Joachim, candidat à l’élection du Président du Conseil régional du Goh : "Je suis très ému ce matin. Monsieur le ministre, les mots vont me manquer ce matin pour vous remercier. Je voudrais vous encourager. Ce courage exceptionnel que vous detenez. Chers amis militants, nous voici encore en compétition avec nos amis d’hier, le RDR. Je voudrais vous demander, vous responsables de section et de base d’aller partout, chercher des militants, mais cherchez aussi des électeurs. Dans cette période précise, on cherche des votants. En tant qu’ancien Secrétaire de section, puis délégué, je sais qu’un parti politique repose sur sa base. Donc vous êtes les premiers responsables du PDCI-RDA. Si vous voulez que nous gagnions les élections, nous sommes sûr de les gagner avec vous, votre décision et votre détermination. Nous allons avoir tous les postes de la région. Je voudrais donc compter sur vous. Laissez les petites querelles de personnes et rassemblez-vous pour la victoire du PDCI-RDA dans la région du Goh. Que le 21 avril au soir, je revienne dans cette même salle pour qu’on fête ensemble la victoire du PDCI-RDA".
Dans les échanges, les militants ont promis suivre les consignes et conseils du ministre Guikahué et de ses envoyés non sans avoir fait des propositions pour la victoire du PDCI-RDA, au soir du 21 avril 2013 dans la région du Goh.
Cellule Communication PDCI-RDA, Région du Goh
Introduisant la réunion, le délégué Guikahué a donné l’ordre du jour. "L’Ordre du jour unique de notre réunion, c’est : La participation du PDCI aux élections municipales et régionales couplées dans le Goh. On passera sans doute aux divers. Mais il faut s’en tenir à l’organisation des élections", a-t-il dit d’emblée. Il a ajouté que "je vous ai convoqués en tant que responsables des structures de bases du PDCI et des mouvements de soutien. Je voudrais vous demander de faire passer le message que nous allons vous confier à vos différentes sections et bases. Faites le compte rendu (…)".
Ensuite le ministre Guikahué a donné des informations relatives à ces élections. "Depuis le 20 février, on a dit de déposer les dossiers de candidatures. Les dossiers de Guibéroua, pour la commune ont été déposés à la CEI. Donc on revient plus en arrière. Vous vous êtes engagés. Pour la régionale, vous avez dû entendre qu’on va aller en RHDP. Je peux vous dire aujourd’hui qu’il y a 24 régions sur les 31 où c’est possible. Il y a 7 régions où on nous dit d’y aller séparément. Gagnoa fait partie des 7 régions où on ne va pas en RHDP. Le président Bédié a donc demandé qu’on dépose tous les dossiers des municipales à la CEI. Nous avons commencé à les déposer, parce qu’après le 10 mars, on ne prend plus de dossier. Donc les choses sérieuses vont commencer (…). Nous sommes arrivés à une phase où l’amusement n’est plus permis", a-t-il précisé.
Le N°3 du PDCI-RDA n’a pas manqué de donner quelques conseils aux militants avant de les mettre en mission de rapprochement et de réconciliation avec des militants du FPI. "Nos amis du FPI ont dit qu’ils ne sont pas prêts, donc ils ne vont pas aller aux élections. Donc, il y a deux gros poids lourds : le PDCI et le RDR. Je voudrais donc vous dire que la politique est une question d’opportunité. Et je le dis haut et fort, s’il n’y avait pas eu de coup d’Etat, le FPI n’allait jamais arriver à la présidence de la République. Le coup d’Etat a créé les conditions pour que le FPI soit au pouvoir. Aujourd’hui, le FPI dit qu’il ne va pas aux élections. C’est donc une circonstance créée pour que le PDCI prenne tous les postes électifs. L’occasion nous est donné de nous activer. En son temps, le FPI n’a pas dit parce qu’on a fait coup d’Etat contre le PDCI donc on ne va pas aux élections. Ils sont partis et ils ont gagné. Il faut donc se battre comme s’il y avait beaucoup d’adversaires pour qu’on gagne avec brio et panache. Le taux de participation doit monter. Je vous donne à tous donc un message, surtout les présidents de comité de base. Vous savez très bien qu’en 1990, tout le monde était PDCI. Et puis on a dit qu’on veut faire une vraie démocratie, alors le FPI est sorti du PDCI. Il y a nos parents parmi nous qui sont devenus FPI et beaucoup de parents aussi étaient restés PDCI. Et puis en l’an 2000, notre frère est devenu président de la République. Ceux qui étaient déjà FPI sont restés FPI. Et il y a eu une autre vague de nos parents qui étaient PDCI, parce que notre frère est devenu président, ils sont partis au FPI. Donc ceux qui étaient restés PDCI jusqu’en 1999 et qui sont parti au FPI parce que leur frère est devenu président de la République, vous devez aller vers eux, chacun dans sa maison pour leur dire que notre frère-là n’est plus président. Donc revenez à la maison et puis nous allons ensemble continuer notre PDCI parce que la raison pour laquelle vous étiez partis n’existe plus. Notre frère n’est plus président. Pour cela, je vous mets en mission (…). Ne vous moquez pas d’eux. Ça ne sert à rien de tirer sur un corbillard. Le FPI n’est pas notre adversaire, il ne faut pas insulter ses militants. Il faut aller vers ceux parmi eux qui pensent au développement de leur commune et de leur région pour les joindre à nous, pour qu’ils reviennent à la maison".
Après quoi, il a présenté les candidats du PDCI-RDA aux élections locales. "Je suis venu vous confier la campagne d’un de nos frères, Ziallo Blé Daniel. Il était policier donc on ne le voyait pas trop. Maintenant, il n’est plus policier. Il est libre de faire la politique et mener des actions de développement. C’est lui que le Président Bédié a choisi pour être le maire de Guibéroua. C’est lui qui est donc notre candidat. Son directeur de campagne s’appelle Yoro Joachim, ancien maire de Guibéroua. Qu’il montre à son frère comment il a fait pour gagner en son temps. Qu’il montre le chemin de la victoire à notre candidat. Je vous confie donc Ziallo qu’il devienne maire de Guibéroua.
Cependant, il y aura deux urnes le 21 avril prochain quand vous aller voter. Il y en aura une pour la mairie et une autre pour le Conseil régional. Et pour la régionale du Goh, c’est Djédjé Bagnon Joachim qui est le candidat également choisi par le Président Bédié. Donc si Yoro Joachim bat la campagne de Ziallo dans la commune, il bat en même temps celle de Djédjé Bagnon. Pour la régionale dans les villages et sous-préfecture de Guibéroua, ce sont Djédjé Koré Pierre et Zakéhi Michel qui sont chargés de faire la campagne de Djédjé Bagnon. Il faut donc sortir massivement pour voter. Si le FPI n’est pas là, c’est le PDCI qui doit gagner. Moi-même, je suis le Directeur central de campagne de tous les candidats. Donc vous aller aussi me voir tourner et sensibiliser pour qu’au soir du 21 avril prochain, le PDCI ait la victoire avec panache", a dit Maurice Kakou Guikahué avant de donner la parole aux candidats et à l’assistance.
Pour Ziallo Blé Daniel, candidat à la mairie de Guibéroua : "Je voudrais remercier le professeur Maurice Kakou Guikahué. Il est au départ et à l’arrivée de la recherche du bonheur dans la région du Goh. Bien qu’il soit la troisième personnalité du PDCI-RDA, il s’est mis à la disposition du Goh pour nous permettre d’avancer. Nous avons besoin de vous tous, quel que soit le parti auquel vous appartenez, pour qu’ensemble nous avançons. Parce qu’il s’agit de développement et de partage. Il y va de l’avenir de Guibéroua et de la région du Goh. Nous devons relever le niveau social de notre commune et de notre sous-préfecture. Merci donc à vous qui nous assistez et nous aidez pour la réussite de cette mission sociale. Le ministre Guikahué est convaincu de notre victoire. Suivons le pour que nous sortions vainqueur dans cette nouvelle épreuve", a-t-il.
Quant à Djédjé Bagnon Joachim, candidat à l’élection du Président du Conseil régional du Goh : "Je suis très ému ce matin. Monsieur le ministre, les mots vont me manquer ce matin pour vous remercier. Je voudrais vous encourager. Ce courage exceptionnel que vous detenez. Chers amis militants, nous voici encore en compétition avec nos amis d’hier, le RDR. Je voudrais vous demander, vous responsables de section et de base d’aller partout, chercher des militants, mais cherchez aussi des électeurs. Dans cette période précise, on cherche des votants. En tant qu’ancien Secrétaire de section, puis délégué, je sais qu’un parti politique repose sur sa base. Donc vous êtes les premiers responsables du PDCI-RDA. Si vous voulez que nous gagnions les élections, nous sommes sûr de les gagner avec vous, votre décision et votre détermination. Nous allons avoir tous les postes de la région. Je voudrais donc compter sur vous. Laissez les petites querelles de personnes et rassemblez-vous pour la victoire du PDCI-RDA dans la région du Goh. Que le 21 avril au soir, je revienne dans cette même salle pour qu’on fête ensemble la victoire du PDCI-RDA".
Dans les échanges, les militants ont promis suivre les consignes et conseils du ministre Guikahué et de ses envoyés non sans avoir fait des propositions pour la victoire du PDCI-RDA, au soir du 21 avril 2013 dans la région du Goh.
Cellule Communication PDCI-RDA, Région du Goh
