« Ce rapport porte sur des faits qui se sont déroulés l’année dernière, à la fin des attaques. Nous estimons que nous serons plus à l’aise pour répondre après les vérifications que nous allons faire. Ce sont des faits qu’il dénonce. Ce sont des allégations de violations de droits de l’Homme, nous ne pouvons pas, en tant que ministre des droits de l’Homme, rester insensibles à cela. Nous disons que s’il y a des faits avérés, nous prendrons les dispositions nécessaires. La Côte d’Ivoire est ouverte, comme nous l’avons dit lors de notre premier communiqué, à toutes les critiques objectives et constructives. La seule chose que nous ne comprenons pas, fort bien dans ce rapport publié, c’est la mise en place d’une commission internationale qu’il demande. Nous n’en voyons pas la nécessité, encore moins l’utilité, sauf à partir d’une présomption de ce que les Ivoiriens ne sont pas en mesure de faire des enquêtes d’eux-mêmes. Nous avons donné la preuve par le passé avec la commission nationale d’enquête de ce que la Côte d’Ivoire est capable par elle-même de vérifier des faits et donner un rapport crédible ».
Propos retranscrits sur Onucifm par Sam-Wakouboué
Propos retranscrits sur Onucifm par Sam-Wakouboué