Le secrétaire général intérimaire du Front populaire ivoirien (FPI le parti de Laurent Gbagbo), Laurent Akoun a été libéré jeudi par la justice ivoirienne et conduit à son domicile d’Abidjan, a appris APA de source judiciaire dans la capitale économique ivoirienne.
Selon cette source proche du barreau ivoirien, M. Akoun qui devrait être initialement conduit dans son village natal de Memni, près d'Abidjan a été ‘'finalement conduit chez lui à Abidjan'' par un détachement de policiers.
Pour le FPI, c'est un ‘'geste d'apaisement'' des nouvelles autorités ivoiriennes.
Laurent Akoun incarcéré depuis août dernier à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA) a ainsi purgé sa peine de six mois.
Le Secrétaire Général par intérim et Porte-parole du FPI, a été condamné à six mois d'emprisonnement ferme par le tribunal d'Abidjan- Plateau, le 31 août 2012, pour ‘'trouble à l'ordre public''.
Cette peine était assortie d'un an de privation de droits civiques et d'un an d'interdiction de séjour sur tout le territoire national en dehors de sa ville natale.
Ce verdict de 1ère instance a été confirmé en appel le 16 janvier dernier.
M. Akoun devrait être conduit à Memni, son village natal près d'Abidjan, où il devrait y purger ses six derniers mois de privation de droits civiques et d'exil intérieur exigé par la justice ivoirienne.
Selon cette source proche du barreau ivoirien, M. Akoun qui devrait être initialement conduit dans son village natal de Memni, près d'Abidjan a été ‘'finalement conduit chez lui à Abidjan'' par un détachement de policiers.
Pour le FPI, c'est un ‘'geste d'apaisement'' des nouvelles autorités ivoiriennes.
Laurent Akoun incarcéré depuis août dernier à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA) a ainsi purgé sa peine de six mois.
Le Secrétaire Général par intérim et Porte-parole du FPI, a été condamné à six mois d'emprisonnement ferme par le tribunal d'Abidjan- Plateau, le 31 août 2012, pour ‘'trouble à l'ordre public''.
Cette peine était assortie d'un an de privation de droits civiques et d'un an d'interdiction de séjour sur tout le territoire national en dehors de sa ville natale.
Ce verdict de 1ère instance a été confirmé en appel le 16 janvier dernier.
M. Akoun devrait être conduit à Memni, son village natal près d'Abidjan, où il devrait y purger ses six derniers mois de privation de droits civiques et d'exil intérieur exigé par la justice ivoirienne.