Bouaké, Le président de la Commission Dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) a estimé "importante et emblématique" la commission locale de Bouaké, parce que, a-t-il dit, "c’est à Bouaké qu’a débuté la crise en Côte d’Ivoire".
"Les comptes ont été ouverts ici à Bouaké. Ces comptes ont créé des sous comptes jusqu’à atteindre leur paroxysme en décembre 2010 où la guerre a éclaté sur l’ensemble du territoire", a rappelé Charles Konan Banny, lundi, lors de l'installation de la commission CDVR à la place du carnaval de Bouaké.
Pour le président de la CDVR, Bouaké ne peut pas ne pas ne pas être engagé dans le processus qui vise à rassembler les ivoiriens.
"C’est ensemble que nous devons tout faire pour que cette page noire ouverte ici à Bouaké soit fermée", a-t-il dit, tout en demandant aux populations locales de ne pas rester indifférentes, mais de demeurer le modèle de l’engagement des ivoiriens dans le processus de réconciliation.
Treize personnes choisies pour travailler au sein de la commission locale, ont reçu des mains du président de la CDVR les dossiers contenant la mission qui leur est assignée, avant d’être présentées aux populations de Bouaké avec à leur tête le préfet de région, Konin Aka.
"L’ordonnance dit que nous devrons œuvrer à la réconciliation, aider les ivoiriens à se réconcilier. Ce n’est pas des recettes toutes faites", a fait remarquer le premier responsable de la CDVR, précisant que le rôle de la commission locale est de travailler pour que la population s’approprie le processus de réconciliation.
"En face de l’impardonnable, nous avons besoin de sursaut et de prière, et transcender nos instincts pour créer une nouvelle cohésion sociale", a indiqué Konan Banny, prévenant que la réconciliation est un processus de longue haleine.
"Je compte beaucoup sur vous, il faut faire en sorte que la jeunesse ne soit pas malheureuse", a-t-il insisté.
Le président de la CDVR a exhorté les fils et filles du pays à s’engager résolument sur les principes de l’union dans la diversité qui ont fondé la Côte d’Ivoire sous la houlette de son premier président, Félix Houphouët-Boigny.
(AIP)
Nam/kp
"Les comptes ont été ouverts ici à Bouaké. Ces comptes ont créé des sous comptes jusqu’à atteindre leur paroxysme en décembre 2010 où la guerre a éclaté sur l’ensemble du territoire", a rappelé Charles Konan Banny, lundi, lors de l'installation de la commission CDVR à la place du carnaval de Bouaké.
Pour le président de la CDVR, Bouaké ne peut pas ne pas ne pas être engagé dans le processus qui vise à rassembler les ivoiriens.
"C’est ensemble que nous devons tout faire pour que cette page noire ouverte ici à Bouaké soit fermée", a-t-il dit, tout en demandant aux populations locales de ne pas rester indifférentes, mais de demeurer le modèle de l’engagement des ivoiriens dans le processus de réconciliation.
Treize personnes choisies pour travailler au sein de la commission locale, ont reçu des mains du président de la CDVR les dossiers contenant la mission qui leur est assignée, avant d’être présentées aux populations de Bouaké avec à leur tête le préfet de région, Konin Aka.
"L’ordonnance dit que nous devrons œuvrer à la réconciliation, aider les ivoiriens à se réconcilier. Ce n’est pas des recettes toutes faites", a fait remarquer le premier responsable de la CDVR, précisant que le rôle de la commission locale est de travailler pour que la population s’approprie le processus de réconciliation.
"En face de l’impardonnable, nous avons besoin de sursaut et de prière, et transcender nos instincts pour créer une nouvelle cohésion sociale", a indiqué Konan Banny, prévenant que la réconciliation est un processus de longue haleine.
"Je compte beaucoup sur vous, il faut faire en sorte que la jeunesse ne soit pas malheureuse", a-t-il insisté.
Le président de la CDVR a exhorté les fils et filles du pays à s’engager résolument sur les principes de l’union dans la diversité qui ont fondé la Côte d’Ivoire sous la houlette de son premier président, Félix Houphouët-Boigny.
(AIP)
Nam/kp