A l’occasion de la commémoration de la Journée Internationale de la Femme, la communauté mondiale engagée pour la lutte contre les inégalités basées sur le sexe et pour l’amélioration des conditions de la femme, s’est donné rendez-vous du 04 au 15 Mars 2013 au siège des Nations Unies, à New York. Le but de cette rencontre est de faire le bilan des évolutions et de prendre des mesures diligentes en vue d’éradiquer le phénomène. Le thème prioritaire adopté cette année par la commission de la condition de la femme : « L’élimination et la prévention de toutes les formes de violences envers les femmes et les fillettes », marque bien la volonté des Nations Unies de passer à l’action pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes dans le monde.
Ainsi, le 04 Mars à 10 heures, lors de la cérémonie d’ouverture, les participants ont tous reconnu que des évolutions importantes ont été réalisées sur la question, mais que beaucoup reste encore à faire. L’usage des violences sexuelles comme arme de guerre dans les pays en crise, les violences exercées sur les femmes handicapées et bien d’autres types de violences, font encore de nombreuses victimes à travers le monde.
Le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-Moon a tapé du poing sur la table en ces termes : « Il y a une vérité universelle, applicable à tous les pays, cultures et communautés : la violence à l’égard des femmes n’est jamais acceptable, jamais excusable, jamais tolérable». La commission s’est prononcée contre les discriminations à l’égard des femmes et s’est engagée, au terme de la session, à prendre des mesures vigoureuses pour l’élimination du fléau.
A cette 57éme session de la condition de la femme, la délégation Ivoirienne conduite par le Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Madame Anne Désirée OULOTO, était composée d’importantes personnalités de premier rang, aussi bien politiques que de la société civile. L’on peut citer : la 1ère Vice Présidente de l’Assemblée Nationale, Madame Sako Sarah Fadiga ; la conseillère spéciale du Chef de l’État chargée du genre et des Affaires sociales, Madame Jeanne Peuhmond ; la Ministre de l’Education Nationale et de l’Enseignement Technique, Madame Kandia Camarade ; la Présidente des Femmes Juristes de Côte d’Ivoire, Maitre Sombo Kouao Viviane ; la Présidente du Réseau pour la paix et la sécurité des femmes de la Cedeao, Madame Salimata Porquet ; la Présidente de l’Organisation Nationale pour l’Enfant, la Femme et la Famille, Madame Rachel Gogoua et le Président de la Société de Génécologie et d’Obstétrique de Côte d’Ivoire, le Pr Anongba Danho Simplice. Egalement comme membre de la Délégation, le Général Kouamé Akissi, première femme promue au grade de Générale en Côte d’Ivoire.
La femme est en effet une priorité du programme de Gouvernement du Président ivoirien Alassane OUATTARA. Le Chef de l’Etat s’inscrit résolument dans l’amélioration de la condition de la femme en Côte d’Ivoire. Le Ministre OULOTO qui porte cette politique, fera le 08 Mars une importante déclaration à la tribune de l’ONU pour faire le point sur la situation dans notre pays et présenter la vision nationale en matière de politique de la femme.
Quand à la session d’ouverture, elle a vu se succéder, d’abord les déclarations par zone, au cours desquelles le Tchad a porté la voix du groupe Africain pour présenter la position commune de l’Afrique, puis ont suivi les déclarations par pays. La Côte d’Ivoire fera la sienne au cours de la 2éme journée, à la 47éme position.
Service de Communication
Ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant
Ainsi, le 04 Mars à 10 heures, lors de la cérémonie d’ouverture, les participants ont tous reconnu que des évolutions importantes ont été réalisées sur la question, mais que beaucoup reste encore à faire. L’usage des violences sexuelles comme arme de guerre dans les pays en crise, les violences exercées sur les femmes handicapées et bien d’autres types de violences, font encore de nombreuses victimes à travers le monde.
Le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-Moon a tapé du poing sur la table en ces termes : « Il y a une vérité universelle, applicable à tous les pays, cultures et communautés : la violence à l’égard des femmes n’est jamais acceptable, jamais excusable, jamais tolérable». La commission s’est prononcée contre les discriminations à l’égard des femmes et s’est engagée, au terme de la session, à prendre des mesures vigoureuses pour l’élimination du fléau.
A cette 57éme session de la condition de la femme, la délégation Ivoirienne conduite par le Ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Madame Anne Désirée OULOTO, était composée d’importantes personnalités de premier rang, aussi bien politiques que de la société civile. L’on peut citer : la 1ère Vice Présidente de l’Assemblée Nationale, Madame Sako Sarah Fadiga ; la conseillère spéciale du Chef de l’État chargée du genre et des Affaires sociales, Madame Jeanne Peuhmond ; la Ministre de l’Education Nationale et de l’Enseignement Technique, Madame Kandia Camarade ; la Présidente des Femmes Juristes de Côte d’Ivoire, Maitre Sombo Kouao Viviane ; la Présidente du Réseau pour la paix et la sécurité des femmes de la Cedeao, Madame Salimata Porquet ; la Présidente de l’Organisation Nationale pour l’Enfant, la Femme et la Famille, Madame Rachel Gogoua et le Président de la Société de Génécologie et d’Obstétrique de Côte d’Ivoire, le Pr Anongba Danho Simplice. Egalement comme membre de la Délégation, le Général Kouamé Akissi, première femme promue au grade de Générale en Côte d’Ivoire.
La femme est en effet une priorité du programme de Gouvernement du Président ivoirien Alassane OUATTARA. Le Chef de l’Etat s’inscrit résolument dans l’amélioration de la condition de la femme en Côte d’Ivoire. Le Ministre OULOTO qui porte cette politique, fera le 08 Mars une importante déclaration à la tribune de l’ONU pour faire le point sur la situation dans notre pays et présenter la vision nationale en matière de politique de la femme.
Quand à la session d’ouverture, elle a vu se succéder, d’abord les déclarations par zone, au cours desquelles le Tchad a porté la voix du groupe Africain pour présenter la position commune de l’Afrique, puis ont suivi les déclarations par pays. La Côte d’Ivoire fera la sienne au cours de la 2éme journée, à la 47éme position.
Service de Communication
Ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant
