Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman, sera le lundi 11 mars prochain, face à l’ensemble des sociétaires du Bureau ivoirien des droits d’auteurs (Burida).
Cette rencontre prévue à la salle François Lougah du Palais de la culture de Treichville, est relative à la restitution des travaux sur les textes d’avant- projets de reforme du Burida.
Pour la directrice générale du Burida, Irène Assa Vieira, qui a annoncé jeudi, à la presse ladite rencontre, il s’agira pour le ministre de la Culture et de la Francophonie de prendre l’avis de la majorité des membres associés du Burida sur les propositions reçues après qu’il ait réceptionné le 14 février dernier, les travaux de réflexions du comité provisoire de gestion du Burida. Ceux-ci auront pendant deux jours (11 et 12 mars) à partager leurs observations sur les conclusions desdits travaux. «Qui dit remise des travaux relatifs aux textes d’avant-projets de réformes dit fin du processus de réforme», soutient Irène Assa Vieira. Au terme de ces consultations, Maurice Bandaman prendra les décisions finales qu’il faut. De l’avis de la directrice du Burida, cette volonté du ministre de la Culture et de la Francophonie d’impliquer les sociétaires du Burida aux questions qui touchent la gestion ou le fonctionnement du bureau est «une forme de démocratie participative». Une fois ce processus achevé, le Burida, de l’avis de sa directrice générale, pourra entamer sa mue. Abordant d’autres questions relatives à la cohésion des membres associés du Burida, Irène Vieira rassure : «Nous n’avons pas vu de velléité de scission parmi nos membres. Il y a une cohérence entre les membres et les organes du Burida». Pour ce qui est de la répartition des droits d’auteurs, la directrice générale fait savoir que le Burida a une obligation de transparence car appartenant à une communauté de maisons de droits d’auteurs auprès de laquelle le bureau ivoirien doit publier ses comptes. Récemment, rappelle-t-elle, même si les échéances de répartition n’ont pas été publiées, «elles ont eu lieu». Prévoyant un «programme ambitieux» pour 2013, la directrice générale fait remarquer qu’en 2012, «il y a eu plus de répartitions que les autres années». Aussi ambitionne-t-elle de faire les répartitions chaque trimestre. Les prochaines répartitions des droits d’auteurs sont prévues pour le 15 mars prochain. Le volet piratage qui, précise Irène Vieira, n’est plus maîtrisé par le Burida depuis 2006 car géré par une brigade, a un fort impact sur les droits d’auteurs.
Contre 200 millions de Fcfa chaque mois par le passé, le Burida récolte aujourd’hui 10 millions de Fcfa de droits d’auteurs chaque trimestre, a indiqué la directrice du Burida. Côté social, ce sont environs 71 millions de FCFA qui ont été consacrés à l’aide aux artistes.
Cette rencontre prévue à la salle François Lougah du Palais de la culture de Treichville, est relative à la restitution des travaux sur les textes d’avant- projets de reforme du Burida.
Pour la directrice générale du Burida, Irène Assa Vieira, qui a annoncé jeudi, à la presse ladite rencontre, il s’agira pour le ministre de la Culture et de la Francophonie de prendre l’avis de la majorité des membres associés du Burida sur les propositions reçues après qu’il ait réceptionné le 14 février dernier, les travaux de réflexions du comité provisoire de gestion du Burida. Ceux-ci auront pendant deux jours (11 et 12 mars) à partager leurs observations sur les conclusions desdits travaux. «Qui dit remise des travaux relatifs aux textes d’avant-projets de réformes dit fin du processus de réforme», soutient Irène Assa Vieira. Au terme de ces consultations, Maurice Bandaman prendra les décisions finales qu’il faut. De l’avis de la directrice du Burida, cette volonté du ministre de la Culture et de la Francophonie d’impliquer les sociétaires du Burida aux questions qui touchent la gestion ou le fonctionnement du bureau est «une forme de démocratie participative». Une fois ce processus achevé, le Burida, de l’avis de sa directrice générale, pourra entamer sa mue. Abordant d’autres questions relatives à la cohésion des membres associés du Burida, Irène Vieira rassure : «Nous n’avons pas vu de velléité de scission parmi nos membres. Il y a une cohérence entre les membres et les organes du Burida». Pour ce qui est de la répartition des droits d’auteurs, la directrice générale fait savoir que le Burida a une obligation de transparence car appartenant à une communauté de maisons de droits d’auteurs auprès de laquelle le bureau ivoirien doit publier ses comptes. Récemment, rappelle-t-elle, même si les échéances de répartition n’ont pas été publiées, «elles ont eu lieu». Prévoyant un «programme ambitieux» pour 2013, la directrice générale fait remarquer qu’en 2012, «il y a eu plus de répartitions que les autres années». Aussi ambitionne-t-elle de faire les répartitions chaque trimestre. Les prochaines répartitions des droits d’auteurs sont prévues pour le 15 mars prochain. Le volet piratage qui, précise Irène Vieira, n’est plus maîtrisé par le Burida depuis 2006 car géré par une brigade, a un fort impact sur les droits d’auteurs.
Contre 200 millions de Fcfa chaque mois par le passé, le Burida récolte aujourd’hui 10 millions de Fcfa de droits d’auteurs chaque trimestre, a indiqué la directrice du Burida. Côté social, ce sont environs 71 millions de FCFA qui ont été consacrés à l’aide aux artistes.