Abidjan - Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Bruno Nabagné Koné, invité du département Afrique Proche et Moyen-Orient de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Paris, a présenté les grands projets ivoiriens dans le domaine des TIC, dans le cadre du Plan national pour le développement (PND) 2012-2015.
Intervenant principal de la rencontre des membres de la Chambre de commerce et d’industrie, le 1er mars, à la bourse de commerce de Paris, le ministre Bruno Koné a expliqué les opportunités d’affaires qui s’offrent dans la mise en œuvre du PND 2012-2015 en insistant sur le secteur des TIC et ses perspectives de développement, selon une note d’information du service Communication du ministère des PTIC dont l’AIP a reçu vendredi une copie.
Le ministre Bruno Koné a montré, dans ses explications, que l’Etat de Côte d’Ivoire déploie, depuis quelque temps, d’ambitieux projets IT pour rattraper son retard dans le domaine des TIC.
Il s’agit de lancer une stratégie nationale dans les domaines prioritaires pour créer les conditions d’une économie numérique, a-t-il dit en citant les projets d’automatisation de l’administration publique, des besoins des marchés d’équipements, d’infrastructures et de logiciels de gestion.
Le ministre a également évoqué la relance de la zone franche du Village des technologies de l’information et de la biotechnologie (VITIB) de Grand Bassam et la Silicon Valley qui attestent aussi de cette volonté des autorités ivoiriennes à combler le retard et à favoriser un véritable transfert de technologies en Côte d’Ivoire.
Le ministre ivoirien des PTIC a évalué à près de 150 millions d’euros (100 milliards de FCFA) le coût des investissements dans le secteur pour atteindre ces objectifs.
"En principe, ces investissements devraient normalement doubler, mais les insuffisances liées notamment au cadre réglementaire inadapté aux enjeux du développement d’une économie numérique avec un code des télécommunications qui datait de 1995, ne militait pas en faveur de l’accroissement des investissements prévus par les opérateurs", a toutefois reconnu le porte-parole du gouvernement ivoirien.
Il a lancé un appel aux opérateurs français des TIC en vue de venir en prospection en Côte d’Ivoire, pour d’éventuels investissements dans le secteur des TIC qui compte environ 16 millions d’utilisateurs sur un total de 20 millions d’ivoiriens répartis entre sept opérateurs de téléphonie.
kkf/kp
Intervenant principal de la rencontre des membres de la Chambre de commerce et d’industrie, le 1er mars, à la bourse de commerce de Paris, le ministre Bruno Koné a expliqué les opportunités d’affaires qui s’offrent dans la mise en œuvre du PND 2012-2015 en insistant sur le secteur des TIC et ses perspectives de développement, selon une note d’information du service Communication du ministère des PTIC dont l’AIP a reçu vendredi une copie.
Le ministre Bruno Koné a montré, dans ses explications, que l’Etat de Côte d’Ivoire déploie, depuis quelque temps, d’ambitieux projets IT pour rattraper son retard dans le domaine des TIC.
Il s’agit de lancer une stratégie nationale dans les domaines prioritaires pour créer les conditions d’une économie numérique, a-t-il dit en citant les projets d’automatisation de l’administration publique, des besoins des marchés d’équipements, d’infrastructures et de logiciels de gestion.
Le ministre a également évoqué la relance de la zone franche du Village des technologies de l’information et de la biotechnologie (VITIB) de Grand Bassam et la Silicon Valley qui attestent aussi de cette volonté des autorités ivoiriennes à combler le retard et à favoriser un véritable transfert de technologies en Côte d’Ivoire.
Le ministre ivoirien des PTIC a évalué à près de 150 millions d’euros (100 milliards de FCFA) le coût des investissements dans le secteur pour atteindre ces objectifs.
"En principe, ces investissements devraient normalement doubler, mais les insuffisances liées notamment au cadre réglementaire inadapté aux enjeux du développement d’une économie numérique avec un code des télécommunications qui datait de 1995, ne militait pas en faveur de l’accroissement des investissements prévus par les opérateurs", a toutefois reconnu le porte-parole du gouvernement ivoirien.
Il a lancé un appel aux opérateurs français des TIC en vue de venir en prospection en Côte d’Ivoire, pour d’éventuels investissements dans le secteur des TIC qui compte environ 16 millions d’utilisateurs sur un total de 20 millions d’ivoiriens répartis entre sept opérateurs de téléphonie.
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