Abidjan, Le bureau de la Coordination des affaires humanitaires (OCHA) procédera lundi, à Abidjan, au lancement du document "Côte d’Ivoire 2013 : Besoins humanitaires en phase de transition" destiné à l’analyse de la situation de vulnérabilité qui persiste en Côte d’Ivoire près de deux ans après l’éclatement de la crise postélectorale, ainsi que les plans sectoriels pour y apporter une réponse en 2013.
Ce document qui est le fruit d’un travail collaboratif entre les agences du Système des Nations unies, des ONG nationales et internationales et des partenaires nationaux, vise à assurer la prise en compte des besoins humanitaires résiduels par les différents programmes et mécanismes de financement des autorités nationales, du système des Nations unies et des bailleurs de fonds internationaux, indique un avis de la coordination dont copie est parvenue à l’AIP.
Placée sous l’égide du ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, la cérémonie sera présidée par le coordonnateur humanitaire des Nations unies en Côte d’Ivoire, Ndolamb Ngokwey, en présence de représentants du gouvernement, des pays donateurs, des membres des agences du Système des Nations unies ainsi que des ONG nationales et internationales, informe-t-on.
Dans le cadre de la "Procédure d’appel global" (CAP 2012), piloté par OCHA, les principaux donateurs, avec à leur tête l’Union européenne, les États-Unis et le Japon, ont déboursé 119,7 millions de dollars (environ 60 milliards de FCFA) pour venir en aide aux populations victimes de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
"Les sommes amassées n’ont toutefois couvert que 61% des besoins ciblés par les acteurs humanitaires", selon un rapport du système des Nations unies qui a relevé que les besoins dans les secteurs de la santé, de la nutrition, de l’accès à l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène.
(AIP)
kp
Ce document qui est le fruit d’un travail collaboratif entre les agences du Système des Nations unies, des ONG nationales et internationales et des partenaires nationaux, vise à assurer la prise en compte des besoins humanitaires résiduels par les différents programmes et mécanismes de financement des autorités nationales, du système des Nations unies et des bailleurs de fonds internationaux, indique un avis de la coordination dont copie est parvenue à l’AIP.
Placée sous l’égide du ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, la cérémonie sera présidée par le coordonnateur humanitaire des Nations unies en Côte d’Ivoire, Ndolamb Ngokwey, en présence de représentants du gouvernement, des pays donateurs, des membres des agences du Système des Nations unies ainsi que des ONG nationales et internationales, informe-t-on.
Dans le cadre de la "Procédure d’appel global" (CAP 2012), piloté par OCHA, les principaux donateurs, avec à leur tête l’Union européenne, les États-Unis et le Japon, ont déboursé 119,7 millions de dollars (environ 60 milliards de FCFA) pour venir en aide aux populations victimes de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
"Les sommes amassées n’ont toutefois couvert que 61% des besoins ciblés par les acteurs humanitaires", selon un rapport du système des Nations unies qui a relevé que les besoins dans les secteurs de la santé, de la nutrition, de l’accès à l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène.
(AIP)
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