Les contestations d’inscription sur des listes de candidature peuvent encore se faire jusqu’au 21 mars, annonce la présidence de la Cour suprême dont le communiqué est parvenu jeudi dernier.
Selon ce communiqué signé du président Mamadou Koné, conformément aux dispositions du code électoral, les électeurs et candidats ont jusqu’au 21 mars, soit 30 jours avant le jour du scrutin, pour "contester une inscription sur les listes de candidature à compter de la date de la publication des listes de candidature par la Commission électorale indépendante (CEI)".
De même en cas de rejet d’un dossier par la CEI ou de la décision d’inéligibilité d’un candidat par l’institution chargée de l’organisation des élections, le candidat ou le parti ou groupement de partis parrain dudit candidat a un délai de trois jours, à compter de la date de publication de la décision, pour "contester la décision de rejet" ou de la notification de l’inéligibilité pour saisir la Chambre administrative de la Cour suprême par le canal de son secrétariat général sis au Plateau, en face de l’ancienne ambassade des Etats-Unis.
Selon ce communiqué signé du président Mamadou Koné, conformément aux dispositions du code électoral, les électeurs et candidats ont jusqu’au 21 mars, soit 30 jours avant le jour du scrutin, pour "contester une inscription sur les listes de candidature à compter de la date de la publication des listes de candidature par la Commission électorale indépendante (CEI)".
De même en cas de rejet d’un dossier par la CEI ou de la décision d’inéligibilité d’un candidat par l’institution chargée de l’organisation des élections, le candidat ou le parti ou groupement de partis parrain dudit candidat a un délai de trois jours, à compter de la date de publication de la décision, pour "contester la décision de rejet" ou de la notification de l’inéligibilité pour saisir la Chambre administrative de la Cour suprême par le canal de son secrétariat général sis au Plateau, en face de l’ancienne ambassade des Etats-Unis.