Une association pour la promotion des énergies renouvelables verra bientôt le jour. En attendant l’Assemblée générale constitutive, les membres de cette structure naissante ont animé un point de presse, le 20 mars 2013 à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire.
‘’Assurer l’accès universel au service énergétique moderne’’ à tous; doubler la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique de la Côte d’Ivoire sont, entre autres, les objectifs que l’Association ivoirienne des énergies renouvelables (Aienr) s’assigne. Pour Edi Boraud, président du comité d’organisation, «l’heure de développer des énergies renouvelables a sonné». Selon lui, tous les secteurs d’activités sont concernés par l’efficience énergétique. A titre d’illustration, Norbert Botinhi a fait savoir que l’énergie solaire peut jouer un rôle «dans la stratégie de croissance énergétique». Pour lui, avec 3500 heures d’ensoleillement par an, l’énergie solaire peut contribuer à l’indépendance énergétique tant recherchée par la Côte d’Ivoire. «La part des énergies renouvelables (y compris les grandes centrales hydroélectriques) dans le total de la capacité de production d’électricité installée dans la sous région, de la Cedeao atteindra 35% à l’horizon 2020 et 48% en 2030. Quand la part des énergies renouvelables nouvelles comme l’éolienne, le solaire, les petites centrales hydroélectriques et la bioélectricité (à l’exception des grandes centrales) sera portée à 10% d’ici 2020 et à 19% en 2030», a-t-il rappelé. Selon l’orateur, la création de l’Aienr répond au souci de plaider d’une part, auprès des pouvoirs publics pour une meilleure vulgarisation et d’autre part, promouvoir la réalisation d’installations expérimentales permettant d’accroître l’autonomie énergétique des ménages.
K. Hyacinthe
‘’Assurer l’accès universel au service énergétique moderne’’ à tous; doubler la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique de la Côte d’Ivoire sont, entre autres, les objectifs que l’Association ivoirienne des énergies renouvelables (Aienr) s’assigne. Pour Edi Boraud, président du comité d’organisation, «l’heure de développer des énergies renouvelables a sonné». Selon lui, tous les secteurs d’activités sont concernés par l’efficience énergétique. A titre d’illustration, Norbert Botinhi a fait savoir que l’énergie solaire peut jouer un rôle «dans la stratégie de croissance énergétique». Pour lui, avec 3500 heures d’ensoleillement par an, l’énergie solaire peut contribuer à l’indépendance énergétique tant recherchée par la Côte d’Ivoire. «La part des énergies renouvelables (y compris les grandes centrales hydroélectriques) dans le total de la capacité de production d’électricité installée dans la sous région, de la Cedeao atteindra 35% à l’horizon 2020 et 48% en 2030. Quand la part des énergies renouvelables nouvelles comme l’éolienne, le solaire, les petites centrales hydroélectriques et la bioélectricité (à l’exception des grandes centrales) sera portée à 10% d’ici 2020 et à 19% en 2030», a-t-il rappelé. Selon l’orateur, la création de l’Aienr répond au souci de plaider d’une part, auprès des pouvoirs publics pour une meilleure vulgarisation et d’autre part, promouvoir la réalisation d’installations expérimentales permettant d’accroître l’autonomie énergétique des ménages.
K. Hyacinthe