En reprenant ma plume à un mois jour pour jour des élections municipales, je ne peux m'empêcher de penser à un grand homme. Un homme qui, toute sa vie durant, a aimé profondément sa commune. Il s'est engagé avec passion au service de tous les Treichvillois et de toutes les Treichvilloises. Au dela des mots et des proverbes puisés de son terroir natal de Konan Kokorêkro où il repose désormais, il avait une vision pour Treichville. Kouassi Lenoir laisse le souvenir d'un bâtisseur. Toutes les réalisations sociales, sportives, culturelles, infrastructures routières etc. sont son œuvre. Depuis sa disparition rien n’a bougé. Tout est figé. Ils n'ont rien ajouté. Au contraire, nous assistons à la dégradation triste et pitoyable de ses réalisations. La commune s'est endormie. Le PDCI qu'il a laissé debout, agonise avec Amichia. Kouassi Lenoir était un fédérateur .Il était humble pour lui même et ambitieux pour les autres .Il savait écouter, servir, aider, accompagner, développer...
Kouassi Lenoir était la sagesse et la richesse de l'âme. Il restera un exemple que malheureusement Amichia n'a pas copié. Avec Amichia on ne parle de Treichville que lorsqu'il s'agit de stigmatisation, d'écoliers accidentés, de marchés brûlés, d'insalubrité, de fumoir, d'insécurité, de marécage après les pluies, de vente des espaces verts, etc. Je ne peux aussi m'empêcher de penser à ce grand rassemblement au quartier Biafra, aujourd'hui appelé quartier Yobout Lambert par lequel le candidat Cissé avait commencé sa campagne de proximité. Je me souviens de l'émotion qui l'a submergé lorsqu'il a pris la parole .Je me souviens de ce sentiment qui était si fort qu'il ne trouvait aucun mot pour le dire. Cette émotion à ceux qui étaient là Cissé avait demandé si empressement de la recevoir comme un témoignage de sa sincérité, de sa vérité et par -dessus tout de son amitié. Ce jour-là, ce qui le frappa ce furent l'écoute et l'attention, ce fut la communion, ce fut l'espérance, ce fut non les applaudissements mais cette sorte de prière religieuse que des dizaines de personnes adressèrent. Il faut faire quelque chose cela ne peut plus continuer. Ainsi nous devons changer la façon de gérer notre commune. Ce jour-là Cissé avait compris que cette campagne ne sera pas comme les autres. Cissé a su que désormais il portera sur ses épaules la lourde responsabilité celle de ne pas décevoir ceux qui espéraient en lui .Il a su qu'à partir de ce moment-là le principal de ses devoirs était de ne pas donner à ceux qui lui faisaient confiance le sentiment qu'il les trahissait. Eux qui avaient été tant de fois trahis, tant de fois trompés, tant de fois déçus par Amichia et son équipe. Cissé a aussi su qu'à partir du moment où s'il était choisi par son parti, ce qui fut fait, il cesserait de leur appartenir. Que désormais, il devait se tourner vers tous les Treichvillois sans exception, vers ceux qui n'avaient jamais été ses amis, qui n'avaient jamais été de sa famille politique, qui parfois même, l'avaient combattu, diffamé; bafoué parce que le maire de la commune ne peut pas être l'homme d'un parti. Cissé a compris qu'il fallait aller à leur rencontre, les comprendre, et donc partager leurs joies, leurs peines, leurs angoisses, leurs attentes. Durant dix ans, il lui a fallu se donner tout entier sans réserve, abolir toutes les barrières, supprimer toutes les distances. Cissé et sa directrice de campagne l'Honorable Maman Tounkara ne connaissent pas l'avarice de sentiments lorsqu'il s'agit de Treichville et des Treichvillois. Cissé ne veut pas être un maire pour obtenir un statut. Cissé veut changer les choses pour répondre aux préoccupations des Treichvillois. Chers Treichvillois il reste 30 jours. 30 jours pour faire de nos rêves une réalité. 30 jours pour se lever. 30 jours pour dire que Treichville est une vieille commune qui a encore tant de choses à dire à l'Afrique et au Monde. 30 jours pour bâtir une ville plus intelligente, plus pratique, plus solidaire. 30 jours pour faire du travail, du mérite, de l'effort, de la récompense, du vivre ensemble, de l'humanisme, les valeurs de la commune. 30 jours pour que les "décharges sociales" d'Amichia soient remplacées par des vrais prises en charge sociales à cent pour cent au profit des populations. 30 jours pour que les espaces verts vendus par Amichia soient rétrocédés à la commune. 30 jours pour que le quartier APPOLO soit débarrassé de son fumoir de drogue en plein air. 30 jours pour qu'il n'y ait plus de rues et d'avenues non bitumées à Treichville 30 jours pour que le chemin de l'école ne soit plus une angoisse pour les parents d'élèves qui assistent impuissants aux tueries par accident de leurs enfants par des automobilistes sans scrupule et causées par une démission totale de la police municipale d'Amichia. 30 jours pour le rétablissement de l'autorité de l'Etat. 30 jours, mes chers amis, pour que l'avenir soit une espérance. 30 jours, oui 30 petits jours pour construire pour les cinq années à venir la commune cosmopolite la plus belle, la plus propre et la plus prospère de la sous-région avec Cissé Ibrahim Sakhir l'Architecte du destin de la commune de Treichville.
Doumbia Madoumbi
Délégué Départemental MFA Treichville
Kouassi Lenoir était la sagesse et la richesse de l'âme. Il restera un exemple que malheureusement Amichia n'a pas copié. Avec Amichia on ne parle de Treichville que lorsqu'il s'agit de stigmatisation, d'écoliers accidentés, de marchés brûlés, d'insalubrité, de fumoir, d'insécurité, de marécage après les pluies, de vente des espaces verts, etc. Je ne peux aussi m'empêcher de penser à ce grand rassemblement au quartier Biafra, aujourd'hui appelé quartier Yobout Lambert par lequel le candidat Cissé avait commencé sa campagne de proximité. Je me souviens de l'émotion qui l'a submergé lorsqu'il a pris la parole .Je me souviens de ce sentiment qui était si fort qu'il ne trouvait aucun mot pour le dire. Cette émotion à ceux qui étaient là Cissé avait demandé si empressement de la recevoir comme un témoignage de sa sincérité, de sa vérité et par -dessus tout de son amitié. Ce jour-là, ce qui le frappa ce furent l'écoute et l'attention, ce fut la communion, ce fut l'espérance, ce fut non les applaudissements mais cette sorte de prière religieuse que des dizaines de personnes adressèrent. Il faut faire quelque chose cela ne peut plus continuer. Ainsi nous devons changer la façon de gérer notre commune. Ce jour-là Cissé avait compris que cette campagne ne sera pas comme les autres. Cissé a su que désormais il portera sur ses épaules la lourde responsabilité celle de ne pas décevoir ceux qui espéraient en lui .Il a su qu'à partir de ce moment-là le principal de ses devoirs était de ne pas donner à ceux qui lui faisaient confiance le sentiment qu'il les trahissait. Eux qui avaient été tant de fois trahis, tant de fois trompés, tant de fois déçus par Amichia et son équipe. Cissé a aussi su qu'à partir du moment où s'il était choisi par son parti, ce qui fut fait, il cesserait de leur appartenir. Que désormais, il devait se tourner vers tous les Treichvillois sans exception, vers ceux qui n'avaient jamais été ses amis, qui n'avaient jamais été de sa famille politique, qui parfois même, l'avaient combattu, diffamé; bafoué parce que le maire de la commune ne peut pas être l'homme d'un parti. Cissé a compris qu'il fallait aller à leur rencontre, les comprendre, et donc partager leurs joies, leurs peines, leurs angoisses, leurs attentes. Durant dix ans, il lui a fallu se donner tout entier sans réserve, abolir toutes les barrières, supprimer toutes les distances. Cissé et sa directrice de campagne l'Honorable Maman Tounkara ne connaissent pas l'avarice de sentiments lorsqu'il s'agit de Treichville et des Treichvillois. Cissé ne veut pas être un maire pour obtenir un statut. Cissé veut changer les choses pour répondre aux préoccupations des Treichvillois. Chers Treichvillois il reste 30 jours. 30 jours pour faire de nos rêves une réalité. 30 jours pour se lever. 30 jours pour dire que Treichville est une vieille commune qui a encore tant de choses à dire à l'Afrique et au Monde. 30 jours pour bâtir une ville plus intelligente, plus pratique, plus solidaire. 30 jours pour faire du travail, du mérite, de l'effort, de la récompense, du vivre ensemble, de l'humanisme, les valeurs de la commune. 30 jours pour que les "décharges sociales" d'Amichia soient remplacées par des vrais prises en charge sociales à cent pour cent au profit des populations. 30 jours pour que les espaces verts vendus par Amichia soient rétrocédés à la commune. 30 jours pour que le quartier APPOLO soit débarrassé de son fumoir de drogue en plein air. 30 jours pour qu'il n'y ait plus de rues et d'avenues non bitumées à Treichville 30 jours pour que le chemin de l'école ne soit plus une angoisse pour les parents d'élèves qui assistent impuissants aux tueries par accident de leurs enfants par des automobilistes sans scrupule et causées par une démission totale de la police municipale d'Amichia. 30 jours pour le rétablissement de l'autorité de l'Etat. 30 jours, mes chers amis, pour que l'avenir soit une espérance. 30 jours, oui 30 petits jours pour construire pour les cinq années à venir la commune cosmopolite la plus belle, la plus propre et la plus prospère de la sous-région avec Cissé Ibrahim Sakhir l'Architecte du destin de la commune de Treichville.
Doumbia Madoumbi
Délégué Départemental MFA Treichville
