Man – Une trentaine d’acteurs de la société civile et de la politique de Man ont été formés lundi au monitoring du code de bonne conduite des partis politiques, forces politiques et des candidats aux élections en Côte d’Ivoire afin de veiller à la tenue d’élections municipales et régionales sans violence le 21 avril prochain.
Cette rencontre initiée par le NDI ( National Democratic Institute) et animée par l’experte nationale et présidente du centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire, Nathalie Koné Traoré, a été sanctionnée par la mise en place d’un comité local de monitoring des élections ou observatoire du code de bonne conduite des partis politiques.
Le comité aura pour mission d’assurer le monitoring des différentes étapes du scrutin et de rendre régulièrement compte afin que l’attention soit attirée en permanence sur les manquements pouvant entraîner la violence, a-t-on appris.
"En 2008 en présence du secrétaire général de l’Onu les leaders de partis politiques ivoiriens ont signé un code qui les engageait à travailler pour qu’il y ait des élections apaisées, ouvertes et transparentes et surtout aussi pour accepter les résultats et faire en sorte que ces résultats soient des résultats acceptées par tous. Au cours de cette formation il s’agissait pour nous de mettre en place un mécanisme de suivi de l’appropriation du respect de ce code", a expliqué Nathalie Koné Traoré.
"Ce monitoring doit commencer immédiatement. Les agents seront devront se mettre au travail pendant la campagne des candidats et un peu après les échéances c’est-à-dire après le 21 avril. Comme on n’a pas beaucoup de temps les rapports vont se faire en utilisant la technologie qu’on a maintenant presque chaque jour et un rapport narratif chaque semaine. Avec ces rapports nous allons redynamiser l’observatoire national qui est basé à Abidjan et on va organiser des conférences de presse immédiatement quand les informations vérifiées et recoupées nous parviendront ", a ajouté la représentante-pays du Ndi, Mme Dieudonné Dominique.
Elle a indiqué que son organisation espère faire comprendre aux Ivoiriens que les élections n’ont pas besoin de violence et que le processus électoral "est juste une petite partie de ce développement démocratique que la Côte d’Ivoire est en train d’expérimenter".
"Il faut qu’à long terme ce processus devienne quelque chose de naturel dans la vie des Ivoiriens", a-t-elle conclu.
(AIP)
Gso/kam
Cette rencontre initiée par le NDI ( National Democratic Institute) et animée par l’experte nationale et présidente du centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire, Nathalie Koné Traoré, a été sanctionnée par la mise en place d’un comité local de monitoring des élections ou observatoire du code de bonne conduite des partis politiques.
Le comité aura pour mission d’assurer le monitoring des différentes étapes du scrutin et de rendre régulièrement compte afin que l’attention soit attirée en permanence sur les manquements pouvant entraîner la violence, a-t-on appris.
"En 2008 en présence du secrétaire général de l’Onu les leaders de partis politiques ivoiriens ont signé un code qui les engageait à travailler pour qu’il y ait des élections apaisées, ouvertes et transparentes et surtout aussi pour accepter les résultats et faire en sorte que ces résultats soient des résultats acceptées par tous. Au cours de cette formation il s’agissait pour nous de mettre en place un mécanisme de suivi de l’appropriation du respect de ce code", a expliqué Nathalie Koné Traoré.
"Ce monitoring doit commencer immédiatement. Les agents seront devront se mettre au travail pendant la campagne des candidats et un peu après les échéances c’est-à-dire après le 21 avril. Comme on n’a pas beaucoup de temps les rapports vont se faire en utilisant la technologie qu’on a maintenant presque chaque jour et un rapport narratif chaque semaine. Avec ces rapports nous allons redynamiser l’observatoire national qui est basé à Abidjan et on va organiser des conférences de presse immédiatement quand les informations vérifiées et recoupées nous parviendront ", a ajouté la représentante-pays du Ndi, Mme Dieudonné Dominique.
Elle a indiqué que son organisation espère faire comprendre aux Ivoiriens que les élections n’ont pas besoin de violence et que le processus électoral "est juste une petite partie de ce développement démocratique que la Côte d’Ivoire est en train d’expérimenter".
"Il faut qu’à long terme ce processus devienne quelque chose de naturel dans la vie des Ivoiriens", a-t-elle conclu.
(AIP)
Gso/kam