Abidjan – Six jours après l’ouverture officielle de la campagne électorale pour les élections municipales et régionales couplées du 21 avril, les messages d’exhortation à la non-violence s’imposent dans la plupart des localités comme une autre campagne dans la campagne électorale.
A Ayamé, dans la sous-préfecture d’Aboisso (sud-est), où quatre candidats sont en lice pour la course aux municipales, les nombreux messages lancés par les autorités en vue d’élections apaisées a porté fruit, car la campagne électorale se déroule dans une atmosphère conviviale dans cette localité.
Les équipes des différents candidats, Djénini N’datchi Francis (RDR), Kadjo Marguérite (PDCI), Djah Kadio Albert (indépendant) et Bosson Agbayé Thomas (Indépendant), mènent leurs activités dans un bel esprit.
A Abidjan, et dans plusieurs villes en province, des affiches exhortant à "un environnement électoral apaisé" sont présentes depuis quelques jours dans les rues. A sassandra, ces supports visuels, noyés dans une pléiade d’affiches des candidats, contribuent à maintenir l’atmosphère sereine dans laquelle se déroule la campagne régionale et municipale.
A Soubré, le préfet de région, Aliali Kouadio, met en garde contre les déchirements d’affiches de candidats, menaçant de poursuites judiciaires toute personne prise en train de s’adonner à cette pratique dans la commune et ses environs.
Du côté de Nassian, l’appel des administrateurs a été entendu par les jeunes de la délégation PDCI locale, qui ont appelés mardi leurs camarades à "faire une campagne civilisée".
L’on note également un climat apaisé pour ce début de campagne à Jacqueville, où les candidats présentent leurs différents programmes aux populations.
A Danané et Sikensi, l’administration multiplie les séances de sensibilisation auprès des acteurs principaux communautaires, notamment les associations locales et les chefs de villages, qu’elle exhorte à la "neutralité" dans le cadre de ces élections.
Avec ces élections régionales et municipales, la Côte d’Ivoire expérimente les premières élections couplées de son histoire.
A Ayamé, dans la sous-préfecture d’Aboisso (sud-est), où quatre candidats sont en lice pour la course aux municipales, les nombreux messages lancés par les autorités en vue d’élections apaisées a porté fruit, car la campagne électorale se déroule dans une atmosphère conviviale dans cette localité.
Les équipes des différents candidats, Djénini N’datchi Francis (RDR), Kadjo Marguérite (PDCI), Djah Kadio Albert (indépendant) et Bosson Agbayé Thomas (Indépendant), mènent leurs activités dans un bel esprit.
A Abidjan, et dans plusieurs villes en province, des affiches exhortant à "un environnement électoral apaisé" sont présentes depuis quelques jours dans les rues. A sassandra, ces supports visuels, noyés dans une pléiade d’affiches des candidats, contribuent à maintenir l’atmosphère sereine dans laquelle se déroule la campagne régionale et municipale.
A Soubré, le préfet de région, Aliali Kouadio, met en garde contre les déchirements d’affiches de candidats, menaçant de poursuites judiciaires toute personne prise en train de s’adonner à cette pratique dans la commune et ses environs.
Du côté de Nassian, l’appel des administrateurs a été entendu par les jeunes de la délégation PDCI locale, qui ont appelés mardi leurs camarades à "faire une campagne civilisée".
L’on note également un climat apaisé pour ce début de campagne à Jacqueville, où les candidats présentent leurs différents programmes aux populations.
A Danané et Sikensi, l’administration multiplie les séances de sensibilisation auprès des acteurs principaux communautaires, notamment les associations locales et les chefs de villages, qu’elle exhorte à la "neutralité" dans le cadre de ces élections.
Avec ces élections régionales et municipales, la Côte d’Ivoire expérimente les premières élections couplées de son histoire.
