Le Rassemblement des républicains (RDR, au pouvoir), a noté lundi une ‘’montée de tension’’ dans les états-majors des différents candidats aux élections régionales et municipales du 21 avril prochain, en demandant à ces derniers de ‘’mettre balle à terre’’.
‘'Depuis l'ouverture officielle de la campagne, nous observons qu'il y a une montée de tension au niveau des états-majors des différents candidats protagonistes'', a déclaré dans un communiqué transmis au bureau de l'APA, le porte parole principal du RDR, l'ancien ministre des droits de l'homme, Joël N'guessan.
Il a dans cette foulée reprécisé qu'il s'agit d'élections pour désigner des personnes ou des groupes de personnes à même de conduire avec ‘'efficacité des programmes de développement'', selon la vision du Chef de l'Etat Alassane Ouattara, ‘'Président de tous les Ivoiriens''.
Pour lui, quelques soient les obédiences politiques, religieuses, culturelles ou sociales, les ivoiriens doivent tous avoir à l'esprit que le bien être des populations tel que prévu et mis en œuvre par le président Alassane Ouattara.
Il se caractérise notamment par l'existence de centres de santé, la fourniture d'eau potable et de l'électricité, la construction ou la réhabilitation d'établissements scolaires, Universitaires ou de formation ainsi que l'emploi des jeunes et des femmes, et l'ouverture des pistes villageoises ou leur reprofilage pour les rendre praticables en toutes saisons.
Pour cela, il faut selon joël N'guessan, la paix, la sérénité, la concorde et surtout une volonté partagée de tous les fils du pays de vivre ensemble.
''C'est pourquoi, le RDR demande à tous de mettre balle à terre. Le véritable enjeu est le développement'', a insisté M. N'guessan.
‘'Notre souhait est que cette campagne soit civilisée, apaisée et que les élections se déroulent sans excès ni violences, a-t-il ajouté, soulignant que ‘' la Côte d'Ivoire et les ivoiriens ne doivent plus vivre ce que nous avons malheureusement connu pendant la crise post électorale''.
‘'Notre pays a été mis sur la rampe du développement par le Président Alassane Ouattara. A tous les candidats et sympathisants de candidats, qu'ils soient du RDR, du PDCI, des autres Partis ou Indépendants, nous leur demandons de se comporter en véritables démocrates'', a poursuivit le porte parole du RDR.
‘'Chacun devra battre campagne dans le respect de son adversaire mais surtout accepter de respecter le résultat du vote populaire'', a conclut Joël N'guessan.
Le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l'ancien président Laurent Gbagbo, a appelé fin mars ses partisans au boycott de ces élections pour dénoncer notamment le choix unilatéral de la date par le gouvernement.
‘'Le FPI n'est pas concerné par les élections du 21 avril 2013. Aucun militant du FPI ne doit en aucune manière prendre part à ces élections'' avait déclaré le Secrétaire général du parti, Richard Kodjo.
Les militants du parti ont été invités à ‘'ne figurer sur aucune liste, ni faire campagne pour une liste, encore moins voter, sous peine de s'exposer aux sanctions disciplinaires prévues par nos textes'' avait-t-il avertit.
Le FPI qui estime que les conditions ne sont pas réunies pour la tenue d'un scrutin juste, inclusif et transparent, réclame une amnistie générale, refusée par le gouvernement.
Le parti avait en outre dénoncé l'incompétence et l'illégalité de la Commission électorale indépendante (CEI) devenue ‘'caduque et illégale'' après les législatives de 2011.
Le FPI a boycotté les législatives de décembre 2011, largement remportées par le RDR, le parti présidentiel.
LS/AP
‘'Depuis l'ouverture officielle de la campagne, nous observons qu'il y a une montée de tension au niveau des états-majors des différents candidats protagonistes'', a déclaré dans un communiqué transmis au bureau de l'APA, le porte parole principal du RDR, l'ancien ministre des droits de l'homme, Joël N'guessan.
Il a dans cette foulée reprécisé qu'il s'agit d'élections pour désigner des personnes ou des groupes de personnes à même de conduire avec ‘'efficacité des programmes de développement'', selon la vision du Chef de l'Etat Alassane Ouattara, ‘'Président de tous les Ivoiriens''.
Pour lui, quelques soient les obédiences politiques, religieuses, culturelles ou sociales, les ivoiriens doivent tous avoir à l'esprit que le bien être des populations tel que prévu et mis en œuvre par le président Alassane Ouattara.
Il se caractérise notamment par l'existence de centres de santé, la fourniture d'eau potable et de l'électricité, la construction ou la réhabilitation d'établissements scolaires, Universitaires ou de formation ainsi que l'emploi des jeunes et des femmes, et l'ouverture des pistes villageoises ou leur reprofilage pour les rendre praticables en toutes saisons.
Pour cela, il faut selon joël N'guessan, la paix, la sérénité, la concorde et surtout une volonté partagée de tous les fils du pays de vivre ensemble.
''C'est pourquoi, le RDR demande à tous de mettre balle à terre. Le véritable enjeu est le développement'', a insisté M. N'guessan.
‘'Notre souhait est que cette campagne soit civilisée, apaisée et que les élections se déroulent sans excès ni violences, a-t-il ajouté, soulignant que ‘' la Côte d'Ivoire et les ivoiriens ne doivent plus vivre ce que nous avons malheureusement connu pendant la crise post électorale''.
‘'Notre pays a été mis sur la rampe du développement par le Président Alassane Ouattara. A tous les candidats et sympathisants de candidats, qu'ils soient du RDR, du PDCI, des autres Partis ou Indépendants, nous leur demandons de se comporter en véritables démocrates'', a poursuivit le porte parole du RDR.
‘'Chacun devra battre campagne dans le respect de son adversaire mais surtout accepter de respecter le résultat du vote populaire'', a conclut Joël N'guessan.
Le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l'ancien président Laurent Gbagbo, a appelé fin mars ses partisans au boycott de ces élections pour dénoncer notamment le choix unilatéral de la date par le gouvernement.
‘'Le FPI n'est pas concerné par les élections du 21 avril 2013. Aucun militant du FPI ne doit en aucune manière prendre part à ces élections'' avait déclaré le Secrétaire général du parti, Richard Kodjo.
Les militants du parti ont été invités à ‘'ne figurer sur aucune liste, ni faire campagne pour une liste, encore moins voter, sous peine de s'exposer aux sanctions disciplinaires prévues par nos textes'' avait-t-il avertit.
Le FPI qui estime que les conditions ne sont pas réunies pour la tenue d'un scrutin juste, inclusif et transparent, réclame une amnistie générale, refusée par le gouvernement.
Le parti avait en outre dénoncé l'incompétence et l'illégalité de la Commission électorale indépendante (CEI) devenue ‘'caduque et illégale'' après les législatives de 2011.
Le FPI a boycotté les législatives de décembre 2011, largement remportées par le RDR, le parti présidentiel.
LS/AP