A la tête d’un long cortège constitué de quinze véhicules, le candidat du Pdci-Rda a sillonné jeudi, les artères de Yopougon-Nord. Parti de son QG de Yopougon-Ancien Bel Air, aux premières heures de l’après-midi, le cortège a mis le cap sur la zone industrielle au Marché d’Ayakro. Là, il est happé par des foules de femmes qui se bousculent pour le toucher. Quand la fanfare aligne des pots pourris, c’est le délire et la communion totale. Des revendications sont improvisées : ‘’on veut de l’eau ! On veut courant ! On veut du goudron !’’.
Quelques mètres plus loin, au bord du chemin, se trouve une borne fontaine. Des dizaines de bidons sont disposées de façon éparse. ‘’C’est ainsi chaque jour. C’est le calvaire qu’il faut braver pour avoir quelques litres d’eau ici’’, explique un riverain. Au rythme des secousses dues aux nids de poule, le cortège avance néanmoins sous les clameurs des femmes, jeunes gens et enfants amarrés le long des ruelles. Posters du candidat en main, on entend certains s’écrier ‘’on veut Doukouré !’’. Pour les autres Doukouré Moustapha, c’est déjà ‘’Monsieur le maire’’. A Micao, au marché de Yopougon Andokoi, même scénario, même liesse. Ici, des dizaines d’enfants se joignent au cortège heureux de voir un candidat emprunter les rues incertaines de leur quartier. Au marché de Niangon Lubafrique, aux cris de ralliement s’ajoutent des complaintes. ‘’On veut l’argent ! On ne veut plus payer de taxes ! Le marché est cher !’’. Le candidat répond par des gestes d’approbation et de compassion. Quatre bonnes heures ont suffi au candidat du Pdci-Rda pour revisiter les femmes des marchés de Yopougon Nord. Histoire de leur dire qu’il n’y a pas, pour le vote de dimanche, un autre candidat que Doukouré Moustapha. Des spécimens de bulletins de vote ont été distribués sur tout le parcours. A la tête d’un long cortège constitué de quinze véhicules, le candidat du Pdci-Rda a sillonné jeudi, les artères de Yopougon-Nord.
Parti de son QG de Yopougon-Ancien Bel Air, aux premières heures de l’après-midi, le cortège a mis le cap sur la zone industrielle au Marché d’Ayakro. Là, il est happé par des foules de femmes qui se bousculent pour le toucher. Quand la fanfare aligne des pots pourris, c’est le délire et la communion totale. Des revendications sont improvisées : ‘’on veut de l’eau ! On veut courant ! On veut du goudron !’’. Quelques mètres plus loin, au bord du chemin, se trouve une borne fontaine. Des dizaines de bidons sont disposées de façon éparse. ‘’C’est ainsi chaque jour. C’est le calvaire qu’il faut braver pour avoir quelques litres d’eau ici’’, explique un riverain. Au rythme des secousses dues aux nids de poule, le cortège avance néanmoins sous les clameurs des femmes, jeunes gens et enfants amarrés le long des ruelles. Posters du candidat en main, on entend certains s’écrier ‘’on veut Doukouré !’’. Pour les autres Doukouré Moustapha, c’est déjà ‘’Monsieur le maire’’. A Micao, au marché de Yopougon Andokoi, même scénario, même liesse. Ici, des dizaines d’enfants se joignent au cortège heureux de voir un candidat emprunter les rues incertaines de leur quartier.
Au marché de Niangon Lubafrique, aux cris de ralliement s’ajoutent des complaintes. ‘’On veut l’argent ! On ne veut plus payer de taxes ! Le marché est cher !’’. Le candidat répond par des gestes d’approbation et de compassion. Quatre bonnes heures ont suffi au candidat du Pdci-Rda pour revisiter les femmes des marchés de Yopougon Nord. Histoire de leur dire qu’il n’y a pas, pour le vote de dimanche, un autre candidat que Doukouré Moustapha. Des spécimens de bulletins de vote ont été distribués sur tout le parcours.
S.Debailly
Quelques mètres plus loin, au bord du chemin, se trouve une borne fontaine. Des dizaines de bidons sont disposées de façon éparse. ‘’C’est ainsi chaque jour. C’est le calvaire qu’il faut braver pour avoir quelques litres d’eau ici’’, explique un riverain. Au rythme des secousses dues aux nids de poule, le cortège avance néanmoins sous les clameurs des femmes, jeunes gens et enfants amarrés le long des ruelles. Posters du candidat en main, on entend certains s’écrier ‘’on veut Doukouré !’’. Pour les autres Doukouré Moustapha, c’est déjà ‘’Monsieur le maire’’. A Micao, au marché de Yopougon Andokoi, même scénario, même liesse. Ici, des dizaines d’enfants se joignent au cortège heureux de voir un candidat emprunter les rues incertaines de leur quartier. Au marché de Niangon Lubafrique, aux cris de ralliement s’ajoutent des complaintes. ‘’On veut l’argent ! On ne veut plus payer de taxes ! Le marché est cher !’’. Le candidat répond par des gestes d’approbation et de compassion. Quatre bonnes heures ont suffi au candidat du Pdci-Rda pour revisiter les femmes des marchés de Yopougon Nord. Histoire de leur dire qu’il n’y a pas, pour le vote de dimanche, un autre candidat que Doukouré Moustapha. Des spécimens de bulletins de vote ont été distribués sur tout le parcours. A la tête d’un long cortège constitué de quinze véhicules, le candidat du Pdci-Rda a sillonné jeudi, les artères de Yopougon-Nord.
Parti de son QG de Yopougon-Ancien Bel Air, aux premières heures de l’après-midi, le cortège a mis le cap sur la zone industrielle au Marché d’Ayakro. Là, il est happé par des foules de femmes qui se bousculent pour le toucher. Quand la fanfare aligne des pots pourris, c’est le délire et la communion totale. Des revendications sont improvisées : ‘’on veut de l’eau ! On veut courant ! On veut du goudron !’’. Quelques mètres plus loin, au bord du chemin, se trouve une borne fontaine. Des dizaines de bidons sont disposées de façon éparse. ‘’C’est ainsi chaque jour. C’est le calvaire qu’il faut braver pour avoir quelques litres d’eau ici’’, explique un riverain. Au rythme des secousses dues aux nids de poule, le cortège avance néanmoins sous les clameurs des femmes, jeunes gens et enfants amarrés le long des ruelles. Posters du candidat en main, on entend certains s’écrier ‘’on veut Doukouré !’’. Pour les autres Doukouré Moustapha, c’est déjà ‘’Monsieur le maire’’. A Micao, au marché de Yopougon Andokoi, même scénario, même liesse. Ici, des dizaines d’enfants se joignent au cortège heureux de voir un candidat emprunter les rues incertaines de leur quartier.
Au marché de Niangon Lubafrique, aux cris de ralliement s’ajoutent des complaintes. ‘’On veut l’argent ! On ne veut plus payer de taxes ! Le marché est cher !’’. Le candidat répond par des gestes d’approbation et de compassion. Quatre bonnes heures ont suffi au candidat du Pdci-Rda pour revisiter les femmes des marchés de Yopougon Nord. Histoire de leur dire qu’il n’y a pas, pour le vote de dimanche, un autre candidat que Doukouré Moustapha. Des spécimens de bulletins de vote ont été distribués sur tout le parcours.
S.Debailly
