Abidjan - A la veille des scrutins couplés des municipales et des régionales marquant la fin d’un long processus électoral, le "sens de responsabilité et de patriotisme" des agents électoraux est évoqué par des organisations de la société civile et des observateurs de la vie politique ivoirienne, afin que ces élections locales se déroulent dans un environnement apaisé.
En effet, relève le président du Forum des enseignants et personnel d’encadrement du secteur éducation-formation pour la réconciliation et la paix (FER-PAIX), les agents électoraux, composés en majorité d’enseignants et de personnel de l’administration électorale, ont un triple rôle de "citoyen normal", "d’éclaireur de conscience" des électeurs et "de membre de l’administration électorale".
Les scrutins de dimanche, les derniers "d’une série d’élections de sortie de crise pour ramener définitivement la paix en Côte d’Ivoire", doivent "régler les problèmes et non les créer".
C’est pourquoi, membres de la CEI, présidents de bureaux de vote, assesseurs ou secrétaires sont invités à "faire preuve de neutralité et d’objectivité" dans la conduite de leurs missions à eux confiées.
Le "bon déroulement contribuera à faire avancer la Côte d'Ivoire sur la voie de la stabilisation, de la normalisation et de la démocratie véritable", souligne-t-on.
En dépit d'incidents regrettables et d'actes d'intimidation inacceptables dans certaines circonscriptions", la campagne électorale qui a duré 15 jours, s’est déroulée dans un climat "relativement calme", relève le chef de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Bert Koenders.
Les élections locales qui se veulent "les plus inclusives possibles, libres, justes et transparentes", conformément à la résolution 2062 du Conseil de sécurité de l’ONU, vont se tenir avec un enjeu majeur, la forte mobilisation des électeurs dans les bureaux de vote.
C’est pourquoi, le président de l’institution en charge de l’organisation de ce scrutin rassure : "Les forces républicaines vont être stationnées dans tous les endroits sensibles. Elles auront le plein appui de l’ONUCI".
"Le droit des électeurs doit être respecté et préservé", affirme Youssouf Bakayoko dans une interview publiée vendredi dans le quotidien Fraternité Matin.
La Commission électorale indépendante (CEI) qui réitère son engagement à mettre tout en oeuvre pour que "ces élections se déroulent dans le calme soient conformes aux normes et standards internationaux", rappelle que "les recours doivent se faire sans violence, par les voies légales".
Quelque 3.024 candidats issus de sept groupements, pour les régionales, et 21.057 proposés par 11 groupements, pour les municipales, sollicitent les suffrages de plus de cinq millions d’ivoiriens pour diriger, pour les cinq années à venir, 31 régions et 197 communes dans le pays.
kp
En effet, relève le président du Forum des enseignants et personnel d’encadrement du secteur éducation-formation pour la réconciliation et la paix (FER-PAIX), les agents électoraux, composés en majorité d’enseignants et de personnel de l’administration électorale, ont un triple rôle de "citoyen normal", "d’éclaireur de conscience" des électeurs et "de membre de l’administration électorale".
Les scrutins de dimanche, les derniers "d’une série d’élections de sortie de crise pour ramener définitivement la paix en Côte d’Ivoire", doivent "régler les problèmes et non les créer".
C’est pourquoi, membres de la CEI, présidents de bureaux de vote, assesseurs ou secrétaires sont invités à "faire preuve de neutralité et d’objectivité" dans la conduite de leurs missions à eux confiées.
Le "bon déroulement contribuera à faire avancer la Côte d'Ivoire sur la voie de la stabilisation, de la normalisation et de la démocratie véritable", souligne-t-on.
En dépit d'incidents regrettables et d'actes d'intimidation inacceptables dans certaines circonscriptions", la campagne électorale qui a duré 15 jours, s’est déroulée dans un climat "relativement calme", relève le chef de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Bert Koenders.
Les élections locales qui se veulent "les plus inclusives possibles, libres, justes et transparentes", conformément à la résolution 2062 du Conseil de sécurité de l’ONU, vont se tenir avec un enjeu majeur, la forte mobilisation des électeurs dans les bureaux de vote.
C’est pourquoi, le président de l’institution en charge de l’organisation de ce scrutin rassure : "Les forces républicaines vont être stationnées dans tous les endroits sensibles. Elles auront le plein appui de l’ONUCI".
"Le droit des électeurs doit être respecté et préservé", affirme Youssouf Bakayoko dans une interview publiée vendredi dans le quotidien Fraternité Matin.
La Commission électorale indépendante (CEI) qui réitère son engagement à mettre tout en oeuvre pour que "ces élections se déroulent dans le calme soient conformes aux normes et standards internationaux", rappelle que "les recours doivent se faire sans violence, par les voies légales".
Quelque 3.024 candidats issus de sept groupements, pour les régionales, et 21.057 proposés par 11 groupements, pour les municipales, sollicitent les suffrages de plus de cinq millions d’ivoiriens pour diriger, pour les cinq années à venir, 31 régions et 197 communes dans le pays.
kp