Les Ivoiriens ont commencé à voter, ce matin, pour les élections municipales couplées aux régionales - la première du genre dans l’histoire de la Côte d’Ivoire -, a constaté abidjan.net dans plusieurs bureaux de votes sur l’étendue du pays.
C’est au total, quelques 5,7 millions d’inscrits, sur 21 millions d’habitants, qui sont attendus aux urnes, ce dimanche, de 07H00 à 17H00, pour choisir leurs conseillers régionaux (84 têtes de liste) et Conseillers municipaux (659 candidats).
Tous les bureaux de votes visités aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays ont effectivement ouverts et commençaient à accueillir les premiers votants.
Ces élections locales se déroulent cependant sans le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, le FPI, à l’heure actuelle le principal parti d’opposition qui a décidé de ne pas y participer.
En effet, comme il l’avait fait pour les législatives fin 2011, le Front populaire ivoirien (FPI) boycotte régionales et municipales, estimant que les conditions n’étaient réunies pour des scrutins transparents et démocratiques dans l’une de ses déclarations.
Par ailleurs, la bataille s’annonce rude dans certaines circonscriptions où des gros bonnets issus des partis alliés du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), le RDR et le PDCI, faute de consensus, s’affrontent.
R. KRA
C’est au total, quelques 5,7 millions d’inscrits, sur 21 millions d’habitants, qui sont attendus aux urnes, ce dimanche, de 07H00 à 17H00, pour choisir leurs conseillers régionaux (84 têtes de liste) et Conseillers municipaux (659 candidats).
Tous les bureaux de votes visités aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays ont effectivement ouverts et commençaient à accueillir les premiers votants.
Ces élections locales se déroulent cependant sans le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, le FPI, à l’heure actuelle le principal parti d’opposition qui a décidé de ne pas y participer.
En effet, comme il l’avait fait pour les législatives fin 2011, le Front populaire ivoirien (FPI) boycotte régionales et municipales, estimant que les conditions n’étaient réunies pour des scrutins transparents et démocratiques dans l’une de ses déclarations.
Par ailleurs, la bataille s’annonce rude dans certaines circonscriptions où des gros bonnets issus des partis alliés du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), le RDR et le PDCI, faute de consensus, s’affrontent.
R. KRA