Abidjan, 21 avril (AIP) - Plus de cinq millions d’ivoiriens se rendent dans les bureaux de vote, sur toute l’étendue du territoire national pour élire des conseillers municipaux et régionaux dans le cadre des élections couplées locales.
Prévus pour se tenir en 2012 après les législatives, les scrutins du conseil municipal et celui des régions ont été reportés une première fois en février avant d’être finalement au 21 avril par le gouvernement sur proposition de la Commission électorale indépendante.
Ces élections que l’ONU a voulu, à travers la résolution 2062 d’octobre 2012, "inclusives, transparentes, démocratiques et libres", se déroulent avec la participation de 11 groupement dont des indépendants pour les municipales et sept pour les régionales, mais sans le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) qui reproche au gouvernement d’avoir fixé "unilatéralement" la date sans le consulter au préalable alors qu’ils étaient en négociation.
Le président de la CEI et le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU ont lancé un appel à tous les acteurs politiques, afin que les électeurs puissent librement et dans la sécurité les quelque 3.024 candidats, pour les régionales et 21.057, pour les municipales, qui prétendent diriger pendant les cinq années à venir les 31 régions et 197 communes dans le pays.
Ils ont également exhorté les candidats à accepter les résultats des urnes, leur indiquant toutefois que les recours contentieux pourraient "se faire sans violence, par les voies légales".
kp
Prévus pour se tenir en 2012 après les législatives, les scrutins du conseil municipal et celui des régions ont été reportés une première fois en février avant d’être finalement au 21 avril par le gouvernement sur proposition de la Commission électorale indépendante.
Ces élections que l’ONU a voulu, à travers la résolution 2062 d’octobre 2012, "inclusives, transparentes, démocratiques et libres", se déroulent avec la participation de 11 groupement dont des indépendants pour les municipales et sept pour les régionales, mais sans le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) qui reproche au gouvernement d’avoir fixé "unilatéralement" la date sans le consulter au préalable alors qu’ils étaient en négociation.
Le président de la CEI et le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU ont lancé un appel à tous les acteurs politiques, afin que les électeurs puissent librement et dans la sécurité les quelque 3.024 candidats, pour les régionales et 21.057, pour les municipales, qui prétendent diriger pendant les cinq années à venir les 31 régions et 197 communes dans le pays.
Ils ont également exhorté les candidats à accepter les résultats des urnes, leur indiquant toutefois que les recours contentieux pourraient "se faire sans violence, par les voies légales".
kp