La commission électorale indépendante (CEI) a entamé dimanche soir le dépouillement des bulletins de vote des élections régionales et municipales dont les résultats partiels seront connus lundi après midi.
Les bulletins de vote étaient acheminés des lieux de vote vers les CEI locales où les résultats commençaient à être consolidés dès leur arrivée.
Le taux de participation de ces élections locales ivoiriennes pourrait se situer autour de 30%, selon Inza Diomandé, le porte parole de la CEI.
En dépit du boycott du Front populaire ivoirien (FPI), ces élections locales, les premières depuis 12 ans, n'ont pas souffert de dysfonctionnements notables sur l'ensemble du territoire national ivoirien.
Plus de 5,7 millions d'électeurs ivoiriens ont été appelés dimanche aux urnes pour élire leurs conseillers régionaux et municipaux, deux ans après la crise post électorale de la présidentielle de novembre 2010 qui a fait au moins 3000 morts.
Plusieurs observateurs de ce scrutin qui a enregistré au total 84 candidats pour les 32 conseils régionaux du pays et 659 candidats pour les 198 communes, redoutent des violences similaires.
30 000 policiers, gendarmes et militaires, appuyés par les forces de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), ont été mobilisés pour la sécurisation de ces élections.
Le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, a boycotté ces élections locales qu'il qualifie de ‘'mascarade'' pour dénoncer le choix unilatéral de la date du 21 avril par le gouvernement.
Ce parti qui avait déjà boycotté les élections législatives de décembre 2011, largement remportées par le RDR, le parti du président Alassane Ouattara, estime par ailleurs que les conditions n'étaient pas réunies pour la tenue d'un ‘'scrutin juste, inclusif et transparent''.
Pour le FPI, la Commission électorale indépendante (CEI), ‘'caduque et illégale'' après les législatives de 2011, est par conséquent ‘'incompétente et illégale'' pour organiser ces élections locales.
LS/APA
Les bulletins de vote étaient acheminés des lieux de vote vers les CEI locales où les résultats commençaient à être consolidés dès leur arrivée.
Le taux de participation de ces élections locales ivoiriennes pourrait se situer autour de 30%, selon Inza Diomandé, le porte parole de la CEI.
En dépit du boycott du Front populaire ivoirien (FPI), ces élections locales, les premières depuis 12 ans, n'ont pas souffert de dysfonctionnements notables sur l'ensemble du territoire national ivoirien.
Plus de 5,7 millions d'électeurs ivoiriens ont été appelés dimanche aux urnes pour élire leurs conseillers régionaux et municipaux, deux ans après la crise post électorale de la présidentielle de novembre 2010 qui a fait au moins 3000 morts.
Plusieurs observateurs de ce scrutin qui a enregistré au total 84 candidats pour les 32 conseils régionaux du pays et 659 candidats pour les 198 communes, redoutent des violences similaires.
30 000 policiers, gendarmes et militaires, appuyés par les forces de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), ont été mobilisés pour la sécurisation de ces élections.
Le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, a boycotté ces élections locales qu'il qualifie de ‘'mascarade'' pour dénoncer le choix unilatéral de la date du 21 avril par le gouvernement.
Ce parti qui avait déjà boycotté les élections législatives de décembre 2011, largement remportées par le RDR, le parti du président Alassane Ouattara, estime par ailleurs que les conditions n'étaient pas réunies pour la tenue d'un ‘'scrutin juste, inclusif et transparent''.
Pour le FPI, la Commission électorale indépendante (CEI), ‘'caduque et illégale'' après les législatives de 2011, est par conséquent ‘'incompétente et illégale'' pour organiser ces élections locales.
LS/APA