Les Ivoiriens se sont peu mobilisés dimanche 21 avril pour les élections municipales et régionales. Le FPI, parti de l'ex-président Laurent Gbagbo, a boycotté les scrutins, symbolisant une réconciliation en panne deux ans après la fin de la crise postélectorale de 2010.
Entre faible mobilisation et boycott d'un des principaux parti politique du pays, le Front populaire ivoirien (FPI), ces élections locales n'ont guère attiré les Ivoiriens dans les bureaux de vote.
À Abidjan comme dans l'intérieur du pays, les opérations de vote ont souvent démarré bien après l'ouverture officielle fixée à 07H00 (locales et GMT), en raison d'importants retards dans l'installation du matériel ou des agents électoraux. Les bureaux de vote ont fermé à partir de 17H00. Malgré une... suite de l'article sur Jeune Afrique
Entre faible mobilisation et boycott d'un des principaux parti politique du pays, le Front populaire ivoirien (FPI), ces élections locales n'ont guère attiré les Ivoiriens dans les bureaux de vote.
À Abidjan comme dans l'intérieur du pays, les opérations de vote ont souvent démarré bien après l'ouverture officielle fixée à 07H00 (locales et GMT), en raison d'importants retards dans l'installation du matériel ou des agents électoraux. Les bureaux de vote ont fermé à partir de 17H00. Malgré une... suite de l'article sur Jeune Afrique