Ferkessédougou - Des bureaux de vote ont été vandalisés par des individus non identifiés pendant le dépouillement du scrutin couplé des élections municipales et régionales, dimanche, à Ferkessédougou.
Ces individus ont surgi dans des bureaux de vote pendant que les agents électoraux accomplissaient les dernières tâches, avant de transmettre les résultats des votes à la Commission électorale indépendante (CEI) pour la nuit électorale.
"Tout s'est bien passé pendant le déroulement du vote, mais c'est le soir que nous avons été attaqués par des individus qui ont cassé les urnes et déchiré les procès-verbaux, malgré la présence des forces de l'ordre", a dit Kolia Kouassi, président de bureau de vote à l'EPP Dioulabougou.
M. Kouassi Médar, superviseur et quelques agents électoraux du lieu de vote de l’EPC garçon ont eux aussi affirmé avoir reçu la visite de ces agresseurs qui les ont effrayés avant de pouvoir s'en prendre aux urnes et aux PV, tel un "hold-up".
Face à la terreur et à la panique, des agents électoraux ont dû précipitamment se rendre à la CEI, avec leur matériel de travail, pour y parachever le remplissage des PV.
Jusqu'à minuit, la CEI n'avait pas encore fait le bilan de ces casses.
Les agents électoraux qui avaient déjà accompli leur mission sont rentrés à la maison, las d'avoir longtemps attendu.
Ti/kkp/kp
Ces individus ont surgi dans des bureaux de vote pendant que les agents électoraux accomplissaient les dernières tâches, avant de transmettre les résultats des votes à la Commission électorale indépendante (CEI) pour la nuit électorale.
"Tout s'est bien passé pendant le déroulement du vote, mais c'est le soir que nous avons été attaqués par des individus qui ont cassé les urnes et déchiré les procès-verbaux, malgré la présence des forces de l'ordre", a dit Kolia Kouassi, président de bureau de vote à l'EPP Dioulabougou.
M. Kouassi Médar, superviseur et quelques agents électoraux du lieu de vote de l’EPC garçon ont eux aussi affirmé avoir reçu la visite de ces agresseurs qui les ont effrayés avant de pouvoir s'en prendre aux urnes et aux PV, tel un "hold-up".
Face à la terreur et à la panique, des agents électoraux ont dû précipitamment se rendre à la CEI, avec leur matériel de travail, pour y parachever le remplissage des PV.
Jusqu'à minuit, la CEI n'avait pas encore fait le bilan de ces casses.
Les agents électoraux qui avaient déjà accompli leur mission sont rentrés à la maison, las d'avoir longtemps attendu.
Ti/kkp/kp
