Le plan d’urgence de l’Approvisionnement en eau potable (Aep) de la ville d’Abidjan est véritablement en marche. C’est justement dans ce cadre qu’aura lieu jeudi prochain, le lancement des travaux du château d'eau de N’Dotré, en présence du Premier ministre, Daniel Kablan Duncan. Il s’agit précisément de la mise en ?uvre du projet de construction d’un nouveau réservoir en béton surélevé de 5000 m3, situé à N’dotré, dans la commune d’Abobo. L’objectif du projet est de réaliser un réservoir de 5000 m3 afin de garantir la desserte en eau potable et assurer une bonne pression dans les réseaux de distribution sur la zone Abobo/N’dotré et Anyama.
Le coût des travaux étant estimé à 5,432 milliards de FCFA pour un délai d’exécution de 12 mois. Cette construction intervient dans un contexte de déficit important de production que connaît la ville d’Abidjan. Avec une insuffisance de 20 à 30 % des capacités de stockage par rapport aux volumes produits. Cette insuffisance de stockage étant très marquée sur la zone de Yopougon et d’Abobo/N’dotré. En effet, pour cette zone en forte expansion d’urbanisation, la production attendue en fin 2014 est de l’ordre de 100 000 m3 pour une capacité de stockage additionnelle de 10 000 m3 en cours de réalisation (Bâche de Niangon II) au lieu de 20 000 m3 nécessaire. C’est donc tout ce déficit qui a amené l’Etat à engager des travaux d’urgence à impact rapide. Objectif : permettre à la population de s’approvisionner en eau potable et mettre fin aux pénuries.
JEA
Le coût des travaux étant estimé à 5,432 milliards de FCFA pour un délai d’exécution de 12 mois. Cette construction intervient dans un contexte de déficit important de production que connaît la ville d’Abidjan. Avec une insuffisance de 20 à 30 % des capacités de stockage par rapport aux volumes produits. Cette insuffisance de stockage étant très marquée sur la zone de Yopougon et d’Abobo/N’dotré. En effet, pour cette zone en forte expansion d’urbanisation, la production attendue en fin 2014 est de l’ordre de 100 000 m3 pour une capacité de stockage additionnelle de 10 000 m3 en cours de réalisation (Bâche de Niangon II) au lieu de 20 000 m3 nécessaire. C’est donc tout ce déficit qui a amené l’Etat à engager des travaux d’urgence à impact rapide. Objectif : permettre à la population de s’approvisionner en eau potable et mettre fin aux pénuries.
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