Abidjan, Certains agents électoraux des élections couplées ne sont pas contents de la Commission électorale indépendante(CEI), car plus de 48 heures après la fermeture des bureaux de vote, ils ne sont pas encore entrés en possession de leur rémunération, a appris l’AIP.
A Bongouanou (Est région du N’Zi), ces agents ont exprimé leur mécontentement mardi, à l’endroit des responsables de la commission régionale, tentant même de s’introduire de force dans les bureaux.
" S’ils ne donnent pas notre argent, ils vont dormir ici aujourd’hui", fustigeaient les plus furieux.
A Tiassalé (région Agnéby Tiassa), la même situation s’est observée dans la journée. Les agents électoraux très furieux s’en sont pris verbalement aux responsables locaux de la CEI ; décidés à faire le siège de la CEI locale jusqu’à ce qu’ils aient gain de cause.
Idem à Agnibilékrou (région de l’Indénié-Djuablin), où sur 230 agents formés en deux groupes , mercredi et vendredi, seulement les 182 formés le mercredi ont espoir d’être payés par la CEI locale, ce qui a soulevé le courroux des 48 agents oubliés.
"Contre toute attente, le président de la CEI locale, Gbané Baba refuse de nous payer nos rémunérations sous prétexte que nous avons été formés le vendredi au lieu de mercredi. Et que seuls les agents électoraux formés mercredi seront pris en compte", expliquent-ils en colère.
Même situation à Issia, où des agents électoraux mécontents ont assiégé mardi la sous-préfecture pour exiger le paiement de leur prime.
Un appel a donc été lancé par les responsables locaux au siège de la CEI pour qu’elle règle incessamment cette injustice, a-t-on-appris.
(AIP)
hk/kd/jcl/amak/kam
A Bongouanou (Est région du N’Zi), ces agents ont exprimé leur mécontentement mardi, à l’endroit des responsables de la commission régionale, tentant même de s’introduire de force dans les bureaux.
" S’ils ne donnent pas notre argent, ils vont dormir ici aujourd’hui", fustigeaient les plus furieux.
A Tiassalé (région Agnéby Tiassa), la même situation s’est observée dans la journée. Les agents électoraux très furieux s’en sont pris verbalement aux responsables locaux de la CEI ; décidés à faire le siège de la CEI locale jusqu’à ce qu’ils aient gain de cause.
Idem à Agnibilékrou (région de l’Indénié-Djuablin), où sur 230 agents formés en deux groupes , mercredi et vendredi, seulement les 182 formés le mercredi ont espoir d’être payés par la CEI locale, ce qui a soulevé le courroux des 48 agents oubliés.
"Contre toute attente, le président de la CEI locale, Gbané Baba refuse de nous payer nos rémunérations sous prétexte que nous avons été formés le vendredi au lieu de mercredi. Et que seuls les agents électoraux formés mercredi seront pris en compte", expliquent-ils en colère.
Même situation à Issia, où des agents électoraux mécontents ont assiégé mardi la sous-préfecture pour exiger le paiement de leur prime.
Un appel a donc été lancé par les responsables locaux au siège de la CEI pour qu’elle règle incessamment cette injustice, a-t-on-appris.
(AIP)
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