Or donc, ces politiciens pensaient disposer seuls, du secret du mensonge. Ils croyaient être les seuls à savoir rouler les autres dans la farine. Avoir la langue fourchue. C’était mal connaître « les magnans ». Dont la devise est « manger l’argent » des candidats. Les promesses, n’est-ce pas, n’engagent que ceux qui y croient. A roublard, roublard et demi. Vous donc, ressaisissez-vous. Rappelez-vous que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. Comme dans la fable.
Jonas BAIKEH
Jonas BAIKEH