Abidjan - Les potentialités économiques de la Côte d’Ivoire ont été expliquées mardi au cours d’un forum économique du secteur privé ivoiro-indien, à des hommes d’affaires indiens en mission de prospection en Côte d’Ivoire depuis dimanche.
Organisé par le Centre de promotion des investissements de Côte d’Ivoire (CEPICI), le forum a permis aux businessmen indiens de comprendre les opportunités d’affaires du pays à travers ses atouts, notamment les deux ports et deux aéroports internationaux, le réseau routier important, le réseau de télécommunication dense, l’éligibilité à l’AGOA, l’accès à un marché sous régional des 15 pays de la CEDEAO, d’une population totale de plus 300 millions d’habitants.
Les ressources naturelles du secteur agricole (café, cacao, palmier à huile, hévéa) et des secteurs miniers (or, diamant, manganèse) et énergétiques (pétrole, gaz) sont, selon le directeur général du CEPICCI, Essis Esmel Emmanuel, "des raisons de plus d’investir en Côte d’Ivoire".
Plusieurs secteurs d’activité dont l’éducation, la santé, le tourisme, les infrastructures, le logement, les TIC ont besoin d’investissements, indique-t-on.
Le Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD), corroborant ces affirmations, a expliqué aux opérateurs économiques indiens certains de ses projets majeurs, extraits du Plan national de développement (PND 2012-2015).
Il s'agit de la construction de trois universités à Man, Bondoukou et San Pedro, la réhabilitation de la route Abidjan-Ouangolodougou jusqu’à la frontière malienne et burkinabé, la construction d’une voie San Pedro-Odienné jusqu’à la frontière malienne, la construction de 30.000 salles de classe à l’école primaire, la réhabilitation et l’équipement de 600 centres de santé et la construction de 60.000 logements.
La Chambre de commerce et de l’industrie de Côte d'Ivoire(CCI-CI), représentée par son président, Djibo Nicolas, a fait la promotion de la transformation des matières en Côte d’Ivoire, avant que l’Association des pour la promotion des exportations de Côte d’Ivoire (APEX-CI), a présenté ses prestations aux hôtes venus de Bangalore (Inde).
Des échanges entre opérateurs économiques indiens et leurs homologues ivoiriens ont clos la cérémonie.
Organisé par le Centre de promotion des investissements de Côte d’Ivoire (CEPICI), le forum a permis aux businessmen indiens de comprendre les opportunités d’affaires du pays à travers ses atouts, notamment les deux ports et deux aéroports internationaux, le réseau routier important, le réseau de télécommunication dense, l’éligibilité à l’AGOA, l’accès à un marché sous régional des 15 pays de la CEDEAO, d’une population totale de plus 300 millions d’habitants.
Les ressources naturelles du secteur agricole (café, cacao, palmier à huile, hévéa) et des secteurs miniers (or, diamant, manganèse) et énergétiques (pétrole, gaz) sont, selon le directeur général du CEPICCI, Essis Esmel Emmanuel, "des raisons de plus d’investir en Côte d’Ivoire".
Plusieurs secteurs d’activité dont l’éducation, la santé, le tourisme, les infrastructures, le logement, les TIC ont besoin d’investissements, indique-t-on.
Le Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD), corroborant ces affirmations, a expliqué aux opérateurs économiques indiens certains de ses projets majeurs, extraits du Plan national de développement (PND 2012-2015).
Il s'agit de la construction de trois universités à Man, Bondoukou et San Pedro, la réhabilitation de la route Abidjan-Ouangolodougou jusqu’à la frontière malienne et burkinabé, la construction d’une voie San Pedro-Odienné jusqu’à la frontière malienne, la construction de 30.000 salles de classe à l’école primaire, la réhabilitation et l’équipement de 600 centres de santé et la construction de 60.000 logements.
La Chambre de commerce et de l’industrie de Côte d'Ivoire(CCI-CI), représentée par son président, Djibo Nicolas, a fait la promotion de la transformation des matières en Côte d’Ivoire, avant que l’Association des pour la promotion des exportations de Côte d’Ivoire (APEX-CI), a présenté ses prestations aux hôtes venus de Bangalore (Inde).
Des échanges entre opérateurs économiques indiens et leurs homologues ivoiriens ont clos la cérémonie.
