« Je profite de cette réponse pour préciser que, parmi tous ceux dont j’ai parlé dans cet ouvrage, quatre personnes seulement ne sont pas en vie. Mais les autres sont toujours en vie. Chacun pourrait témoigner. Il y a feu Tapé Koulou mon patron qui n’est plus en vie. Il y a feu Kriwa Zéli dont j’ai parlé au passage qui a été rappelé à Dieu. Il y a Désiré Tagro, paix à son âme qui n’est plus en vie dont j’ai parlé. J’ai parlé de ma relation avec lui. Et, Il y a Robert Guéi ancien président, qui n’est plus là et que je n’ai pas vraiment connu. Mais, vous êtes au courant de l’histoire. On n’avait marché lors de la journée internationale de la presse. Et puis, il m’a reçu la veille. Il m’a demandé, monsieur Alafé tu fais quoi dans la presse. Tu es gaillard ! Tu dois être militaire. Voilà le début de mon histoire avec Robert Guéi ».
Société Publié le samedi 11 mai 2013 | L’intelligent d’Abidjan