C’est malheureux de le constater ! Chez nous, la politique que quelqu’un assimilait à un métier, est l’art du clair-obscur, de la mauvaise foi et de l’ergotage. C’est un lieu commun que depuis la fin de la crise postélectorale, le changement est visible en Côte d’Ivoire. les frontistes et leurs relais ont beau jeu de tirer à hue et à dia, de ruer dans les brancards et de tenter d’obscurcir l’image du pouvoir Ouattara, les Ivoiriens ne sont pas dupes et ne sont pas tombés de la dernière pluie. En deux ans, le président Alassane Ouattara et ses collaborateurs nous ont fait oublié la décennie interminable de sang, de meurtres, de détournements des deniers publics, de gaspillage de l’argent du contribuable, de scandales financiers, de mauvaise gouvernance et de gestion approximative des avoirs de la nation. Depuis deux ans, des hommes d’Etat ont pris les rênes du pays, en battant dans les urnes les actants du populisme, de l’improvisation comme mode de gouvernance. Le changement saute aux yeux. Maintenant, on ne voit plus d’escadrons de la mort, qui enlèvent nuitamment des citoyens, pour les faire passer de vie à trépas. On ne voit plus de rutilantes voitures dans un pays où les routes faisaient énormément défaut. A présent, la nation sortie du traumatisme nommée refondation, est en plein chantier. Après les institutions mises en place, le président de la République et son gouvernement initient de grands travaux pour redonner à la Côte d’Ivoire, son lustre et son rayonnement d’antan. La croissance économique qui était largement négative sous Laurent Gbagbo, est maintenant positive. L’argent est au travail et il n’y a pas de place pour le gaspillage et les paradis fiscaux. Tout le monde voit l’embellie mis à part les frontistes et leurs relais qui ne cessent de radoter et de pinailler à longueur de journée. Munis volontairement de lunettes opaques, ils feignent de ne pas voir les nombreuses mutations en cours. A la vérité, ils n’acceptent pas la réussite du président Ouattara dont les recettes montrent clairement l’échec de la gouvernance Gbagbo. A leur détriment, ils constatent que le développement d’un pays, ce sont les actes et actions et non point le populisme, le verbiage et les slogans inopérants
Retour à la normalité 1400 armes répertoriées
La Côte d’Ivoire est résolument engagée sur la voie de la normalisation. En effet en collaboration avec l’Etat major, l’ADDR (l’Autorité pour le désarmement et la démobilisation et la réintégration des ex-combattants) a organisé hier au Bataillon de commandement de soutien ( BCS )de l’Etat major au Plateau une cérémonie de marquage de 1400 armes. Cette cérémonie selon le Dg de l’Addr Fidèle Sarassoro s’inscrit dans le cadre des activités de désarmement et renforcement de la sécurité. Les armes marquées selon lui ont été rendues par les ex-combattants. Pour Sarassoro cette cérémonie revêt d’une importance capitale parce qu’elle permet de marquer les armes non défectueuses pour assurer une traçabilité de celles-ci. Pour le dg de l’Addr cette opération obéit à lettre de politique de désarment et de démobilisation de sa structure. Car elle permet la rétrocession des armes aux forces régulières de Côte d’Ivoire qui sont seules habilitées à avoir des armes dans l’exercice de leur fonction. « La traçabilité est importante. Car nous ne voulons pas que les armes collectées se retrouvent dans les mains des civiles », a déclaré Fidèle Sarassoro. Poursuivant le dg de l’autorité de désarmement a expliqué que l’opération la traçabilité permet également de savoir l’unité ou le groupe auquel appartient l’arme collectée. Pour la réussite de cette mission le patron de l’ADDR a annoncé des campagnes de sensibilisation en direction de la cible. En retour fait-il savoir des propositions de réinsertion sont mises à leur disposition. Il a révélé que pour la réinsertion des 64777 ex-combattants l’Etat de Cote d’Ivoire déboursera entre 85 et 90 milliards de francs CFA avec l’appui des partenaires extérieurs. Ce sont plus de 1400 armes qui ont été collectées par l’ADDR début le début de l’opération.
Zana Coulibaly
Retour à la normalité 1400 armes répertoriées
La Côte d’Ivoire est résolument engagée sur la voie de la normalisation. En effet en collaboration avec l’Etat major, l’ADDR (l’Autorité pour le désarmement et la démobilisation et la réintégration des ex-combattants) a organisé hier au Bataillon de commandement de soutien ( BCS )de l’Etat major au Plateau une cérémonie de marquage de 1400 armes. Cette cérémonie selon le Dg de l’Addr Fidèle Sarassoro s’inscrit dans le cadre des activités de désarmement et renforcement de la sécurité. Les armes marquées selon lui ont été rendues par les ex-combattants. Pour Sarassoro cette cérémonie revêt d’une importance capitale parce qu’elle permet de marquer les armes non défectueuses pour assurer une traçabilité de celles-ci. Pour le dg de l’Addr cette opération obéit à lettre de politique de désarment et de démobilisation de sa structure. Car elle permet la rétrocession des armes aux forces régulières de Côte d’Ivoire qui sont seules habilitées à avoir des armes dans l’exercice de leur fonction. « La traçabilité est importante. Car nous ne voulons pas que les armes collectées se retrouvent dans les mains des civiles », a déclaré Fidèle Sarassoro. Poursuivant le dg de l’autorité de désarmement a expliqué que l’opération la traçabilité permet également de savoir l’unité ou le groupe auquel appartient l’arme collectée. Pour la réussite de cette mission le patron de l’ADDR a annoncé des campagnes de sensibilisation en direction de la cible. En retour fait-il savoir des propositions de réinsertion sont mises à leur disposition. Il a révélé que pour la réinsertion des 64777 ex-combattants l’Etat de Cote d’Ivoire déboursera entre 85 et 90 milliards de francs CFA avec l’appui des partenaires extérieurs. Ce sont plus de 1400 armes qui ont été collectées par l’ADDR début le début de l’opération.
Zana Coulibaly