Abidjan -Le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan a invité les professionnels de la santé à s’approprier les référentiels du Centre régional d’évaluation en santé et d’accréditation des établissements sanitaires en Afrique (CRESAC) qui sont, selon lui, "une garantie pour un système de santé de qualité".
Prenant part, lundi, à Abidjan, à la remise officielle de ces référentiels au ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, le chef du gouvernement ivoirien en a appelé à leur sens de responsabilité, "afin de préserver nos acquis et de veiller à l’amélioration constante de notre système de santé".
"Nous avons donc le devoir d’y consacrer nos forces et nos intelligences, en vue de rendre notre système de santé performant et à la hauteur de nos ambitions de développement", a insisté M. Kablan Duncan, tout en rappelant l’ambition du gouvernement de "faire d’Abidjan, un grand centre régional de traitement médical".
Selon lui, le CRESAC contribue à l’amélioration de la qualité des soins de santé dans les pays africains. C’est pourquoi, le Premier ministre a appelé au soutien du CRESAC "qui peut être considéré à juste titre, comme un modèle d’intégration sous-régionale et de coopération Sud-Sud, au regard de l’intérêt de plus en plus affirmé de plusieurs pays pour cette institution".
Organisme régional créé en avril 2005, à l’initiative des universités de Parakou (Bénin), de Yaoundé 1 (Cameroun), Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan (Côte d’Ivoire), des Sciences de la santé de Libreville (Gabon) et Cheick Anta Diop (Sénégal), le CRESAC a, entre autres missions, de promouvoir la reconnaissance des performances professionnelles des établissements de santé et d’enseignement supérieur en santé, de contribuer à la mise en œuvre de la stratégie de gestion des risques et d’appui au développement durable.
(AIP)
kkp/kp
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Prenant part, lundi, à Abidjan, à la remise officielle de ces référentiels au ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, le chef du gouvernement ivoirien en a appelé à leur sens de responsabilité, "afin de préserver nos acquis et de veiller à l’amélioration constante de notre système de santé".
"Nous avons donc le devoir d’y consacrer nos forces et nos intelligences, en vue de rendre notre système de santé performant et à la hauteur de nos ambitions de développement", a insisté M. Kablan Duncan, tout en rappelant l’ambition du gouvernement de "faire d’Abidjan, un grand centre régional de traitement médical".
Selon lui, le CRESAC contribue à l’amélioration de la qualité des soins de santé dans les pays africains. C’est pourquoi, le Premier ministre a appelé au soutien du CRESAC "qui peut être considéré à juste titre, comme un modèle d’intégration sous-régionale et de coopération Sud-Sud, au regard de l’intérêt de plus en plus affirmé de plusieurs pays pour cette institution".
Organisme régional créé en avril 2005, à l’initiative des universités de Parakou (Bénin), de Yaoundé 1 (Cameroun), Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan (Côte d’Ivoire), des Sciences de la santé de Libreville (Gabon) et Cheick Anta Diop (Sénégal), le CRESAC a, entre autres missions, de promouvoir la reconnaissance des performances professionnelles des établissements de santé et d’enseignement supérieur en santé, de contribuer à la mise en œuvre de la stratégie de gestion des risques et d’appui au développement durable.
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