Dans ses efforts pour améliorer le climat des affaires, la Côte d’Ivoire pourra toujours compter sur le groupe de la Banque Mondiale, à travers la Société financière internationale (Sfi). Le vice-président de l’institution, Jean-Philippe Prosper, qui est présent à Abidjan, a signé hier avec le gouvernement ivoirien une convention à cet effet dans les locaux de la primature.
1, 2 milliard de FCFA, c’est le montant de cette convention d’assistance que propose la SFI. L’objectif, selon le vice-président de cette institution vise à ‘’aider à la simplification des procédures d’investissement’’. A cela, s’ajoute d’autres objectifs spécifiques tels que réduire la refonte des obstructions artificielles, afin de minimiser les coûts et les délais. Pour le vice-président de la SFI, ce n’est que de cette façon que le gouvernement ivoirien pourra encourager l’investissement direct national et étranger. «Nous sommes disposés à supporter les efforts du gouvernement pour le développement du secteur privé. Déjà, nous félicitons la redynamisation de l’économie et on voit que le pays peut rebondir », a-t-il ajouté. Daniel Kablan Duncan qui, au nom du gouvernement ivoirien, s’est réjoui de cette signature de convention a rappelé le contexte des discussions qui ont abouti à cette signature. «Au cours de ces derniers mois, nous avons travaillé en étroite collaboration à la définition de mesures et de moyens concrets permettant à l’Etat de représenter une meilleure option pour les investisseurs », a déclaré Daniel Kablan Kablan Duncan. Avant de reconnaitre que la collaboration avec le groupe de la Banque Mondiale a permis l’identification des mesures réglementaires et légales en vue d’améliorer le classement de la Côte d’Ivoire au Doing Business. Aussi, Daniel Kablan Duncan a rappelé que la Côte d’Ivoire se doit d’être un bon élève si elle veut bénéficier de la dernière tranche de sa ligne de crédit avant l’échéance prévue. Sur une ligne de crédit de 350 milliards Fcfa, 175 milliards ont déjà été consommés.
K. Hyacinthe
1, 2 milliard de FCFA, c’est le montant de cette convention d’assistance que propose la SFI. L’objectif, selon le vice-président de cette institution vise à ‘’aider à la simplification des procédures d’investissement’’. A cela, s’ajoute d’autres objectifs spécifiques tels que réduire la refonte des obstructions artificielles, afin de minimiser les coûts et les délais. Pour le vice-président de la SFI, ce n’est que de cette façon que le gouvernement ivoirien pourra encourager l’investissement direct national et étranger. «Nous sommes disposés à supporter les efforts du gouvernement pour le développement du secteur privé. Déjà, nous félicitons la redynamisation de l’économie et on voit que le pays peut rebondir », a-t-il ajouté. Daniel Kablan Duncan qui, au nom du gouvernement ivoirien, s’est réjoui de cette signature de convention a rappelé le contexte des discussions qui ont abouti à cette signature. «Au cours de ces derniers mois, nous avons travaillé en étroite collaboration à la définition de mesures et de moyens concrets permettant à l’Etat de représenter une meilleure option pour les investisseurs », a déclaré Daniel Kablan Kablan Duncan. Avant de reconnaitre que la collaboration avec le groupe de la Banque Mondiale a permis l’identification des mesures réglementaires et légales en vue d’améliorer le classement de la Côte d’Ivoire au Doing Business. Aussi, Daniel Kablan Duncan a rappelé que la Côte d’Ivoire se doit d’être un bon élève si elle veut bénéficier de la dernière tranche de sa ligne de crédit avant l’échéance prévue. Sur une ligne de crédit de 350 milliards Fcfa, 175 milliards ont déjà été consommés.
K. Hyacinthe