Gagnoa – Le ministre de la Promotion de la jeunesse, des Sports et Loisirs, Alain Lobognon, a procédé mercredi, au lancement des finales nationales des compétitions de l’Office ivoirien des sports scolaires et universitaires (OISSU) nouvelle version qui regroupent quelque 2000 participants issus d’une vingtaine de régions du pays, au stade Biaka Boda de Gagnoa.
En présence des élèves, parents et partenaires des secteurs éducation/formation, de la santé et de la formation professionnelle ainsi que du corps préfectoral et des chefs de villages, le ministre Alain Lobognon a rappelé que la mission première de l’école est de transmettre un savoir, d’éduquer l’enfant et l’adolescent, et de les initier aux règles de la vie en communauté.
"Le sport peut et doit absolument jouer un rôle déterminant dans la réalisation de cette finalité éducative et participer au développement durable, à la promotion de la paix, de la réconciliation et au renforcement de la cohésion sociale", a-t-il affirmé, relevant l’importance des compétitions de l’OISSU dans l’accomplissement de cette mission.
Il s’agit, à travers elles, de promouvoir le sport de masse et le sport féminin sans sacrifier le sport d’élite, et d’offrir toutes les perspectives heureuses à ceux des jeunes ivoiriens qui voudraient opter pour le sport de haut niveau, sans compromettre leurs études ou formation, a ajouté Alain Lobognon.
Il a fait savoir que les jeux OISSU doivent aussi aider à préparer et former les athlètes pour les jeux de la Francophonie 2017 pour lesquels la Côte d’Ivoire est candidate à l’organisation.
Les différents intervenants ont salué le retour des compétitions OISSU après une dizaine d’années de léthargie du fait de la crise que la Côte d’Ivoire a traversée, manifestant leur intérêt pour ces jeux qui aident à former une jeunesse plus compétitive au plan national et international.
Les jeux de Gagnoa qui vont durer 10 jours, mettront en compétition les meilleurs talents des établissements scolaires et universitaires de 25 régions de la Côte d’Ivoire.
Le directeur général de l’OISSU, Koné Mamadou Souleymane, a indiqué que "cette manifestation sportive nationale est le champ privilégié de détection et de sélection pour le mouvement sportif civil et pour la formation des équipes nationales scolaires et universitaires".
Selon lui, l’innovation est que les équipes de régions évolueront dans la ligue 1 des sports scolaires et universitaires pendant la saison 2013 - 2014 des jeux de l’OISSU.
Quelque 416 filles, dont 112 du primaire, 224 du secondaire et 80 du supérieur, figurent parmi les 2.000 participants présents à Gagnoa, sous la supervision de 206 encadreurs et de plus 60 officiels techniques.
Au niveau des sports collectifs, l’on enregistre 98 équipes, notamment 36 en football, 46 en hand-ball, 14 en basket et deux en volley. En individuels, six équipes évolueront en athlétisme.
La fin de ces jeux est prévue pour le 24 mai prochain.
(AIP)
En présence des élèves, parents et partenaires des secteurs éducation/formation, de la santé et de la formation professionnelle ainsi que du corps préfectoral et des chefs de villages, le ministre Alain Lobognon a rappelé que la mission première de l’école est de transmettre un savoir, d’éduquer l’enfant et l’adolescent, et de les initier aux règles de la vie en communauté.
"Le sport peut et doit absolument jouer un rôle déterminant dans la réalisation de cette finalité éducative et participer au développement durable, à la promotion de la paix, de la réconciliation et au renforcement de la cohésion sociale", a-t-il affirmé, relevant l’importance des compétitions de l’OISSU dans l’accomplissement de cette mission.
Il s’agit, à travers elles, de promouvoir le sport de masse et le sport féminin sans sacrifier le sport d’élite, et d’offrir toutes les perspectives heureuses à ceux des jeunes ivoiriens qui voudraient opter pour le sport de haut niveau, sans compromettre leurs études ou formation, a ajouté Alain Lobognon.
Il a fait savoir que les jeux OISSU doivent aussi aider à préparer et former les athlètes pour les jeux de la Francophonie 2017 pour lesquels la Côte d’Ivoire est candidate à l’organisation.
Les différents intervenants ont salué le retour des compétitions OISSU après une dizaine d’années de léthargie du fait de la crise que la Côte d’Ivoire a traversée, manifestant leur intérêt pour ces jeux qui aident à former une jeunesse plus compétitive au plan national et international.
Les jeux de Gagnoa qui vont durer 10 jours, mettront en compétition les meilleurs talents des établissements scolaires et universitaires de 25 régions de la Côte d’Ivoire.
Le directeur général de l’OISSU, Koné Mamadou Souleymane, a indiqué que "cette manifestation sportive nationale est le champ privilégié de détection et de sélection pour le mouvement sportif civil et pour la formation des équipes nationales scolaires et universitaires".
Selon lui, l’innovation est que les équipes de régions évolueront dans la ligue 1 des sports scolaires et universitaires pendant la saison 2013 - 2014 des jeux de l’OISSU.
Quelque 416 filles, dont 112 du primaire, 224 du secondaire et 80 du supérieur, figurent parmi les 2.000 participants présents à Gagnoa, sous la supervision de 206 encadreurs et de plus 60 officiels techniques.
Au niveau des sports collectifs, l’on enregistre 98 équipes, notamment 36 en football, 46 en hand-ball, 14 en basket et deux en volley. En individuels, six équipes évolueront en athlétisme.
La fin de ces jeux est prévue pour le 24 mai prochain.
(AIP)