Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, à l’occasion de cérémonie d’hommage au général Yao Brou Alain, s’est voulu rassurant quant à l’issue de l’enquête diligentée pour faire toute la lumière sur les évènements qui ont provoqué la mort du directeur général de l’Ecole de police.
«Au nom du président de la République, du gouvernement ivoirien, je voudrais présenter les condoléances les plus sincères à la famille du général. Je voudrais lui dire d’être fière. Car au moment où je proposais le général Yao Brou comme directeur général de l’école de police, je ne l’avais jamais rencontré. C’est son CV, sa rigueur, sa riche expérience reconnus de tous qui ont milité à sa faveur. Je voudrais dire qu’il était un grand policier et il avait le respect de toute la nation», a indiqué le premier policier ivoirien. Selon lui, la séparation est certes difficile. Mais, «le grand hommage que nous devons rendre au général, c’est de continuer à traquer les bandits. Parce que les bandits par cet assassinat ont frappé au cœur de la mission de la police. Ils ont frappé au cœur de notre dispositif. J’engage donc les policiers à relever les défis de l’insécurité en Côte d’Ivoire. Je rassure tout le monde que toute la lumière sera faite sur cet assassinat. Il faut faire la lumière et toute la lumière sur ces évènements», a rassuré le ministre. Il faut noter que pour les obsèques, le président de la République, Alassane Ouattara, a offert la somme de 5 millions de Fcfa à la famille éplorée.
LO
«Au nom du président de la République, du gouvernement ivoirien, je voudrais présenter les condoléances les plus sincères à la famille du général. Je voudrais lui dire d’être fière. Car au moment où je proposais le général Yao Brou comme directeur général de l’école de police, je ne l’avais jamais rencontré. C’est son CV, sa rigueur, sa riche expérience reconnus de tous qui ont milité à sa faveur. Je voudrais dire qu’il était un grand policier et il avait le respect de toute la nation», a indiqué le premier policier ivoirien. Selon lui, la séparation est certes difficile. Mais, «le grand hommage que nous devons rendre au général, c’est de continuer à traquer les bandits. Parce que les bandits par cet assassinat ont frappé au cœur de la mission de la police. Ils ont frappé au cœur de notre dispositif. J’engage donc les policiers à relever les défis de l’insécurité en Côte d’Ivoire. Je rassure tout le monde que toute la lumière sera faite sur cet assassinat. Il faut faire la lumière et toute la lumière sur ces évènements», a rassuré le ministre. Il faut noter que pour les obsèques, le président de la République, Alassane Ouattara, a offert la somme de 5 millions de Fcfa à la famille éplorée.
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