Les cas de contentieux électoraux portés devant la Chambre administrative de la Cour suprême commenceront à être examinés, jeudi, dans le fond.
Le compte à rebours a commencé. C’est après-demain que la Chambre administrative de la Cour suprême va statuer sur les premiers dossiers du contentieux électoral, suite aux scrutins couplés des régionales et des municipales du 21 avril dernier. Selon des sources proches de l’institution, il n’y a pas encore de calendrier précis concernant l’ensemble des dossiers qui lui ont été soumis. C’est à l’issue de cette première audience du jeudi 23 mai que d’autres dates seront arrêtées. Ce chronogramme sera par la suite mis à la disposition du grand public, selon nos informations. Ces précisions seront disponibles aujourd’hui même au niveau de la structure. Toutefois, les dossiers seront traités selon leur ordre d’arrivée à la Chambre administrative de la Cour suprême.
La Chambre administrative se barricade
Notons que c’est une audience publique qui va se tenir au quinzième étage de l’immeuble Bicici au Plateau, abritant la Chambre administrative. Selon nos sources, la présence physique des candidats n’est pas indispensable car la Cour les informera afin que leurs conseils se présentent à l’audience. L’institution a décidé de travailler à l’abri de toute perturbation du public et surtout des journalistes pour éviter des fuites d’informations. De sources sûres, la Chambre administrative de la Cour suprême «ne reçoit même plus». «Nous faisons un travail très délicat, il faut savoir canaliser les informations pour éviter toutes suspicions», a confié un magistrat interrogé sur la question. Poursuivant, il a ajouté que « pour le cas spécial de ces élections, compte tenu de leur caractère politique, il faut prendre des précautions». Il y va de la préservation de la cohésion sociale, a-t-il assuré.
Danielle Tagro
Le compte à rebours a commencé. C’est après-demain que la Chambre administrative de la Cour suprême va statuer sur les premiers dossiers du contentieux électoral, suite aux scrutins couplés des régionales et des municipales du 21 avril dernier. Selon des sources proches de l’institution, il n’y a pas encore de calendrier précis concernant l’ensemble des dossiers qui lui ont été soumis. C’est à l’issue de cette première audience du jeudi 23 mai que d’autres dates seront arrêtées. Ce chronogramme sera par la suite mis à la disposition du grand public, selon nos informations. Ces précisions seront disponibles aujourd’hui même au niveau de la structure. Toutefois, les dossiers seront traités selon leur ordre d’arrivée à la Chambre administrative de la Cour suprême.
La Chambre administrative se barricade
Notons que c’est une audience publique qui va se tenir au quinzième étage de l’immeuble Bicici au Plateau, abritant la Chambre administrative. Selon nos sources, la présence physique des candidats n’est pas indispensable car la Cour les informera afin que leurs conseils se présentent à l’audience. L’institution a décidé de travailler à l’abri de toute perturbation du public et surtout des journalistes pour éviter des fuites d’informations. De sources sûres, la Chambre administrative de la Cour suprême «ne reçoit même plus». «Nous faisons un travail très délicat, il faut savoir canaliser les informations pour éviter toutes suspicions», a confié un magistrat interrogé sur la question. Poursuivant, il a ajouté que « pour le cas spécial de ces élections, compte tenu de leur caractère politique, il faut prendre des précautions». Il y va de la préservation de la cohésion sociale, a-t-il assuré.
Danielle Tagro