Abidjan, La Ligue ivoirienne des droits de l’homme (LIDHO) se dit favorable à des sanctions contre les auteurs des récentes violences dans les universités publiques, à Abidjan.
Dans une déclaration rendue publique mardi, le président de la Lidho, Hervé Hokou, recommande aux autorités universitaires des sanctions conformément aux règlements en vigueur, à la suite d’une enquête qui sera diligentée en vue de situer les responsabilités.
Se référant aux faits survenus les 13 et 16 mai à l’université Houphouët-Boigny de Cocody et celui de l’université Nangui Abrogoua d’Abobo-Adjamé, le 17 mai et au terme desquels quatre blessé et des dégâts matériels ont été enregistrés, l’organisation de la société civile en charge de la défense des droits humains appelle les autorités universitaires à "garantir la sécurité des personnes et des biens dans les universités publiques".
Tout en demandant aux étudiants "de cultiver un esprit citoyen par le respect du droit à la différence et le respect des biens publics", le président de la Lidho souhaite que "les conditions de vie et d’étude des étudiants" soient améliorées en œuvrant à la construction de nouvelles infrastructures universitaires et en favorisant la liberté d’expression et surtout la liberté syndicale en milieu universitaire.
Pour la Lidho, citant le ministre Cissé Bacongo, "l’Etat a fait un sacrifice historique pour redonner à nos universités une allure, une dimension et des conditions qui leur permettent de concurrencer les grandes universités du monde", pour renouer de nouveau avec les violences décriées par l’opinion nationale et la communauté internationale pendant un passé récent.
(AIP)
kkp/kp
Dans une déclaration rendue publique mardi, le président de la Lidho, Hervé Hokou, recommande aux autorités universitaires des sanctions conformément aux règlements en vigueur, à la suite d’une enquête qui sera diligentée en vue de situer les responsabilités.
Se référant aux faits survenus les 13 et 16 mai à l’université Houphouët-Boigny de Cocody et celui de l’université Nangui Abrogoua d’Abobo-Adjamé, le 17 mai et au terme desquels quatre blessé et des dégâts matériels ont été enregistrés, l’organisation de la société civile en charge de la défense des droits humains appelle les autorités universitaires à "garantir la sécurité des personnes et des biens dans les universités publiques".
Tout en demandant aux étudiants "de cultiver un esprit citoyen par le respect du droit à la différence et le respect des biens publics", le président de la Lidho souhaite que "les conditions de vie et d’étude des étudiants" soient améliorées en œuvrant à la construction de nouvelles infrastructures universitaires et en favorisant la liberté d’expression et surtout la liberté syndicale en milieu universitaire.
Pour la Lidho, citant le ministre Cissé Bacongo, "l’Etat a fait un sacrifice historique pour redonner à nos universités une allure, une dimension et des conditions qui leur permettent de concurrencer les grandes universités du monde", pour renouer de nouveau avec les violences décriées par l’opinion nationale et la communauté internationale pendant un passé récent.
(AIP)
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