Tabou-Abidjan (474km) sont en grève depuis lundi pour disent-ils "protester contre le nombre’ pléthorique de barrages routiers sur la côtière et le racket des forces de l’ordre tout le long du trajet.
" Plus de dix barrages routiers sont dressés le long de la côtière et les forces de l’ordre nous rackettent par jour et par véhicule autour de 30 000 mille FCFA ; c’est pourquoi nous sommes en grève pour dire non à cette souffrance et pour interpeller les autorités compétentes", ont expliqué, mardi, des responsables des transporteurs de Tabou (région de San-Pedro) à l’AIP.
La "côtière" est une voie interurbaine reliant la ville de Tabou (sud-ouest) à Abidjan, en passant par San-Pedro, Sassandra, Fresco, Grand-Lahou, Dabou.
Mardi en milieu de matinée, les véhicules assurant la desserte sur cette ligne étaient encore stationnés dans les gares routières et abords des routes à Tabou, a constaté l’AIP. Quelques transporteurs qui avaient décidé de reprendre leurs activités très tôt le matin, ont été empêchés par les grévistes.
"Nous avons l’impression que depuis la mesure gouvernementale de réduire les barrages routiers, les barrages des autres régions se sont déversés sur la côtière et les forces de l’ordre sont devenus plus exigeantes", a dénoncé un responsable local des syndicats de transporteurs.
Des passagers ayant quitté les localités environnantes, en transit à Tabou, pour se rendre à Abidjan, se trouvent bloqués à la gare.
Ce mouvement de grève intervient une semaine, après une autre similaire observé le 10 mai par les acteurs du transport urbain de Sikensi (sud, région de l’Agnéby-Tiassa) protester contre le racket des forces de l’ordre, notamment des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI).
A Tiassalé, dans la même région, des planteurs d’hévéa regroupés au sein d’une, la COOPHET, ont dénoncé le 19 mai auprès des autorités locales, les tracasseries routière, notamment le racket des forces de sécurité et de défense, qui leur fait perdre ".
(AIP)
bb/en/tm
" Plus de dix barrages routiers sont dressés le long de la côtière et les forces de l’ordre nous rackettent par jour et par véhicule autour de 30 000 mille FCFA ; c’est pourquoi nous sommes en grève pour dire non à cette souffrance et pour interpeller les autorités compétentes", ont expliqué, mardi, des responsables des transporteurs de Tabou (région de San-Pedro) à l’AIP.
La "côtière" est une voie interurbaine reliant la ville de Tabou (sud-ouest) à Abidjan, en passant par San-Pedro, Sassandra, Fresco, Grand-Lahou, Dabou.
Mardi en milieu de matinée, les véhicules assurant la desserte sur cette ligne étaient encore stationnés dans les gares routières et abords des routes à Tabou, a constaté l’AIP. Quelques transporteurs qui avaient décidé de reprendre leurs activités très tôt le matin, ont été empêchés par les grévistes.
"Nous avons l’impression que depuis la mesure gouvernementale de réduire les barrages routiers, les barrages des autres régions se sont déversés sur la côtière et les forces de l’ordre sont devenus plus exigeantes", a dénoncé un responsable local des syndicats de transporteurs.
Des passagers ayant quitté les localités environnantes, en transit à Tabou, pour se rendre à Abidjan, se trouvent bloqués à la gare.
Ce mouvement de grève intervient une semaine, après une autre similaire observé le 10 mai par les acteurs du transport urbain de Sikensi (sud, région de l’Agnéby-Tiassa) protester contre le racket des forces de l’ordre, notamment des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI).
A Tiassalé, dans la même région, des planteurs d’hévéa regroupés au sein d’une, la COOPHET, ont dénoncé le 19 mai auprès des autorités locales, les tracasseries routière, notamment le racket des forces de sécurité et de défense, qui leur fait perdre ".
(AIP)
bb/en/tm
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