Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont demandé, lundi 3 juin, au procureur d’apporter des éléments de preuves additionnels avant de décider de mener un éventuel procès contre l’ancien président ivoirien. Laurent Gbagbo devra encore patienter pour savoir s’il sera jugé, à La Haye, pour crimes contre l’humanité.
Après l’audience de confirmation des charges qui s’est tenue il y a trois mois, les trois juges de la chambre préliminaire sont divisés. Deux d’entre eux n’ont manifestement pas été convaincus par l’enquête, et les démonstrations du bureau du procureur. Le troisième s’est rangé du côté de ses anciens collègues de l’accusation, considérant que les quatre chefs d’inculpation qui pèsent sur l’ex-président ivoirien devaient être confirmés.
Face à cette situation, c’est donc une décision de compromis qui a été prise. L’accusation se voit, en quelque sorte, accorder une seconde chance.
Après l’audience de confirmation des charges qui s’est tenue il y a trois mois, les trois juges de la chambre préliminaire sont divisés. Deux d’entre eux n’ont manifestement pas été convaincus par l’enquête, et les démonstrations du bureau du procureur. Le troisième s’est rangé du côté de ses anciens collègues de l’accusation, considérant que les quatre chefs d’inculpation qui pèsent sur l’ex-président ivoirien devaient être confirmés.
Face à cette situation, c’est donc une décision de compromis qui a été prise. L’accusation se voit, en quelque sorte, accorder une seconde chance.