Abidjan - L’Addr, l'autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réintégration, a procédé, ce mercredi, près d'Anyama(au nord-est d'Abidjan), à une opération de destruction d'une vingtaine d’obus "rouillés et défectueux", après que des "mesures de sécurité minimales ont été prises", assurent des responsables de cet organisme public, initiateur de ce projet.
Cette opération est l'un des volets des activités de désarmement des ex-combattants ainsi que de sécurisation confiés à cet organisme chargé de désarmement, la démobilisation et la réintégration. Ces engins détruits, jugés "dangereux pour la sécurité des populations", ont été collectés lors de précédentes opérations visant le désarmement d'ex-combattants.
Ces opérations ont notamment consisté au profilage des armes et munitions collectées par l'Addr auprès des ex-combattants "qui ont volontiers accepté de déposer les armes, en vue de leur réinsertion dans le tissu socio-économique". Celle de ce jour, conduite en partenariat avec les forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) ainsi que l'ONUCI, la mission des Nations-Unies en Côte d’Ivoire, fait suite à celle de marquage des armes en bon état de fonctionnement déjà réalisée.
Celle-ci s’est déroulée sur le site de l’ex-3ème Bataillon de Bouaké, relocalisée, dès le déclenchement de la crise militaro-politique de septembre 2002, dans le district d'Abidjan, route d’Anyama. Dans le cadre de ses activités, l’Addr a déjà réalisé la destruction de plus de 2000 armes légères, à Yopougon (banlieue-ouest d’Abidjan).
Cet organisme a de plus contribué à l’intégration de 2000 ex-combattants dans le corps des douanes ivoiriennes, de même quelque 2000 autres dans le corps des agents des établissements pénitentiaires, rappelle-t-on.
Cette opération est l'un des volets des activités de désarmement des ex-combattants ainsi que de sécurisation confiés à cet organisme chargé de désarmement, la démobilisation et la réintégration. Ces engins détruits, jugés "dangereux pour la sécurité des populations", ont été collectés lors de précédentes opérations visant le désarmement d'ex-combattants.
Ces opérations ont notamment consisté au profilage des armes et munitions collectées par l'Addr auprès des ex-combattants "qui ont volontiers accepté de déposer les armes, en vue de leur réinsertion dans le tissu socio-économique". Celle de ce jour, conduite en partenariat avec les forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) ainsi que l'ONUCI, la mission des Nations-Unies en Côte d’Ivoire, fait suite à celle de marquage des armes en bon état de fonctionnement déjà réalisée.
Celle-ci s’est déroulée sur le site de l’ex-3ème Bataillon de Bouaké, relocalisée, dès le déclenchement de la crise militaro-politique de septembre 2002, dans le district d'Abidjan, route d’Anyama. Dans le cadre de ses activités, l’Addr a déjà réalisé la destruction de plus de 2000 armes légères, à Yopougon (banlieue-ouest d’Abidjan).
Cet organisme a de plus contribué à l’intégration de 2000 ex-combattants dans le corps des douanes ivoiriennes, de même quelque 2000 autres dans le corps des agents des établissements pénitentiaires, rappelle-t-on.
