L’année 2013 a été décrétée «Année de la santé» par le Président Alassane Ouattara et le ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle a réitéré cette ambition gouvernementale, à l’ouverture de la session de la Commission mixte du parlement de la CEDEAO, le 4 juin 2013, au Plateau. «Stratégie d’accélération de la couverture universelle santé en Afrique de l’Ouest».
Tel est le thème de la réunion délocalisée de la Commission mixte du parlement de la CEDEAO. Les membres de cette commission mixte, comprenant la Commission santé et services sociaux et la Commission genre, travail, emploi et bien-être social auront, au cours de leurs travaux qui prend fin aujourd’hui, à faire des recommandations au parlement de la CEDEAO, présidé par le Nigérian Ike Ekweremadu, mais aussi au gouvernement de Côte d’Ivoire.
Dans son adresse, le ministre d’Etat Moussa Dosso a rappelé l’engagement de la Côte d’Ivoire à assurer un plus grand accès aux soins des couches vulnérables. «Il est prévu un régime contributif sur la base de 1000 FCFA par mois et par personne. Beaucoup de nos compatriotes ont pensé qu’il s’agissait de payer 1000 FCFA pour toute l’année. Eh bien non ! Il s’agit de 1000 FCFA par personne et par mois pour toute personne qui justifie d’un revenu, d’un régime non contributif au profit des populations démunies ayant le statut d’indigent. Nous avons un programme en cours actuellement pour prendre en compte tous les économiquement faibles, avant la mise en œuvre de l’Assurance maladie universelle», a expliqué Moussa Dosso. La 1ère vice-présidente de l’Assemblée nationale qui a ouvert les travaux, a traduit la volonté du parlement ivoirien de contrôler l’engagement de l’Etat en matière d’accès aux soins de leurs mandants. Cette réunion qui se déroule sous forme d’exposés et d’échanges a pour objectif de mener la réflexion en vue de contribuer à l’accélération de la réalisation de la Couverture universelle santé, en s’imprégnant de la situation sanitaire dans les pays d’Afrique de l’Ouest.
O.D
Tel est le thème de la réunion délocalisée de la Commission mixte du parlement de la CEDEAO. Les membres de cette commission mixte, comprenant la Commission santé et services sociaux et la Commission genre, travail, emploi et bien-être social auront, au cours de leurs travaux qui prend fin aujourd’hui, à faire des recommandations au parlement de la CEDEAO, présidé par le Nigérian Ike Ekweremadu, mais aussi au gouvernement de Côte d’Ivoire.
Dans son adresse, le ministre d’Etat Moussa Dosso a rappelé l’engagement de la Côte d’Ivoire à assurer un plus grand accès aux soins des couches vulnérables. «Il est prévu un régime contributif sur la base de 1000 FCFA par mois et par personne. Beaucoup de nos compatriotes ont pensé qu’il s’agissait de payer 1000 FCFA pour toute l’année. Eh bien non ! Il s’agit de 1000 FCFA par personne et par mois pour toute personne qui justifie d’un revenu, d’un régime non contributif au profit des populations démunies ayant le statut d’indigent. Nous avons un programme en cours actuellement pour prendre en compte tous les économiquement faibles, avant la mise en œuvre de l’Assurance maladie universelle», a expliqué Moussa Dosso. La 1ère vice-présidente de l’Assemblée nationale qui a ouvert les travaux, a traduit la volonté du parlement ivoirien de contrôler l’engagement de l’Etat en matière d’accès aux soins de leurs mandants. Cette réunion qui se déroule sous forme d’exposés et d’échanges a pour objectif de mener la réflexion en vue de contribuer à l’accélération de la réalisation de la Couverture universelle santé, en s’imprégnant de la situation sanitaire dans les pays d’Afrique de l’Ouest.
O.D