Le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, veut se donner les moyens pour résoudre les problèmes récurrents de distribution et de coupure d’eau potable tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. Les déficits de production de 30% pour le District d’Abidjan et de 50% pour les villes de l’intérieur constatés après la crise postélectorale sont en passe d’être comblés grâce aux partenariats que le ministère entend sceller avec les bailleurs de fonds internationaux. Interrogé par l’hebdomadaire panafricain ‘’Jeune Afrique’’ dans sa parution du 26 au 1er juin dernier, le ministre Patrick Achi a annoncé la tenue d’une conférence des bailleurs de fonds prévue pour la fin du mois juin à Abidjan.
A terme, précise le ministre, cette conférence a pour ambition de réunir au moins 50% des fonds nécessaires pour débuter les travaux en 2014. Notamment, les travaux de forages, des insfrastrucutres de stockage, etc. «Nous préparons pour fin juin, une conférence des bailleurs sur le thème de l’eau. L’objectif est de réunir 50% des fonds nécessaires pour débuter les travaux», a-t-il annoncé. Expliquant l’origine des coupures intempestives de l’eau potable, Patrick Achi, a indiqué que la rupture des investissements dans le domaine de l’eau par les bailleurs internationaux après le coup d’Etat de 1999 et l’endettement de la Côte d’Ivoire depuis 2002, n’ont pas permis aux autorités de poursuivre la construction et la maintenance des infrastructures.
Par ailleurs, le ministre se dit optimiste quant à la possibilité pour la Côte d’Ivoire de couvrir la demande nationale en eau potable. Mais, mieux, poursuit-il, le pays sera à mesure de vendre de l’eau à l’extérieur comme il le fait pour l’électricité. «Nous le faisons déjà pour l’électricité. Nous en avons le potentiel», a rassuré Patrick Achi.
L.Barro avec JA
A terme, précise le ministre, cette conférence a pour ambition de réunir au moins 50% des fonds nécessaires pour débuter les travaux en 2014. Notamment, les travaux de forages, des insfrastrucutres de stockage, etc. «Nous préparons pour fin juin, une conférence des bailleurs sur le thème de l’eau. L’objectif est de réunir 50% des fonds nécessaires pour débuter les travaux», a-t-il annoncé. Expliquant l’origine des coupures intempestives de l’eau potable, Patrick Achi, a indiqué que la rupture des investissements dans le domaine de l’eau par les bailleurs internationaux après le coup d’Etat de 1999 et l’endettement de la Côte d’Ivoire depuis 2002, n’ont pas permis aux autorités de poursuivre la construction et la maintenance des infrastructures.
Par ailleurs, le ministre se dit optimiste quant à la possibilité pour la Côte d’Ivoire de couvrir la demande nationale en eau potable. Mais, mieux, poursuit-il, le pays sera à mesure de vendre de l’eau à l’extérieur comme il le fait pour l’électricité. «Nous le faisons déjà pour l’électricité. Nous en avons le potentiel», a rassuré Patrick Achi.
L.Barro avec JA