Le ministre d’État ministre du Plan et du Développement, Albert Mabri Toikeusse était devant la commission des Affaires économiques et financières de l’Assemblée nationale le lundi 10 juin 2013.
L’émissaire du gouvernement est venu présenter le projet de loi portant organisation du système statistique national, qui a été adopté à l’unanimité par les membres de la Commission. Pour le ministre d’Etat, dans son exposé des motifs, le projet de loi tel que prévu et réglementé va faire du système statistique national, un outil moderne, cohérent et performant pour tous les décideurs. Selon Albert Mabri Toikeusse, les statistiques constituent un outil privilégié pour la planification et la programmation cohérente du développement. Car elles fournissent une base fiable pour l’élaboration, la gestion, le contrôle et l’évaluation des politiques nationales comme le Plan national de développement (PND). Aux dires du ministre d’Etat, la Côte d’Ivoire a compris très tôt l’importance des statistiques fiables dans le processus du développement. Raison pour laquelle, dès juillet 1946, elle s’est dotée d’un service qui a fait sa renommée à travers la sous région. Le système statistique national a pour objectif de faire des réformes institutionnelles appropriées; la mise à disposition de ressources humaines, matérielles et financières suffisantes. Et enfin de proposer des choix méthodologiques inattaquables au plan scientifique et fondés sur des normes adaptées aux recommandations internationales. Le projet de loi portant organisation du système statistique national comporte 36 articles déclinés en 5 chapitres. Le projet de loi prévoit la création d’une autorité administrative à autonomie financière dénommée Conseil national de la statistique (CNSTAT), organe de concertation permanente et d’orientation générale de la politique statistique en Côte d’Ivoire. Cette structure sera chargée de veiller à l’animation du dialogue entre producteurs, fournisseurs et utilisateurs des données statistiques. Les députés dans leur ensemble, ont soulevé la question de l’autonomie financière du futur conseil, de même que la périodicité de publication des données statistiques. Sans oublier de fustiger la disponibilité et la fiabilité des données statistiques.
FO
L’émissaire du gouvernement est venu présenter le projet de loi portant organisation du système statistique national, qui a été adopté à l’unanimité par les membres de la Commission. Pour le ministre d’Etat, dans son exposé des motifs, le projet de loi tel que prévu et réglementé va faire du système statistique national, un outil moderne, cohérent et performant pour tous les décideurs. Selon Albert Mabri Toikeusse, les statistiques constituent un outil privilégié pour la planification et la programmation cohérente du développement. Car elles fournissent une base fiable pour l’élaboration, la gestion, le contrôle et l’évaluation des politiques nationales comme le Plan national de développement (PND). Aux dires du ministre d’Etat, la Côte d’Ivoire a compris très tôt l’importance des statistiques fiables dans le processus du développement. Raison pour laquelle, dès juillet 1946, elle s’est dotée d’un service qui a fait sa renommée à travers la sous région. Le système statistique national a pour objectif de faire des réformes institutionnelles appropriées; la mise à disposition de ressources humaines, matérielles et financières suffisantes. Et enfin de proposer des choix méthodologiques inattaquables au plan scientifique et fondés sur des normes adaptées aux recommandations internationales. Le projet de loi portant organisation du système statistique national comporte 36 articles déclinés en 5 chapitres. Le projet de loi prévoit la création d’une autorité administrative à autonomie financière dénommée Conseil national de la statistique (CNSTAT), organe de concertation permanente et d’orientation générale de la politique statistique en Côte d’Ivoire. Cette structure sera chargée de veiller à l’animation du dialogue entre producteurs, fournisseurs et utilisateurs des données statistiques. Les députés dans leur ensemble, ont soulevé la question de l’autonomie financière du futur conseil, de même que la périodicité de publication des données statistiques. Sans oublier de fustiger la disponibilité et la fiabilité des données statistiques.
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