Le président de l’Association de protection des consommateurs actifs de Côte d’Ivoire (Aprocaci), Soumahoro Ben N’faly était hier, lundi 10 juin 2013 au port sec de Williamsville. Il s’est prononcé une fois de plus sur la récente sortie du ministre Jean Louis Billon au sujet de la gestion du second terminal à conteneur.
Inauguré en décembre 2012, le port sec de Williamsville est un espace commercial dédié aux produits vivriers de toutes sortes. Pour Soumahoro Ben N’faly qui entend poursuivre les actions de proximité pour comprendre la hausse des coûts des produits vivriers, ce sont de pareilles actions que le ministre du Commerce Jean Louis Billon devait mener. «Vous êtes venus avec moi et ensemble nous nous sommes imprégnés des difficultés d’approvisionnement des commerçants depuis les pays de l’hinterland. Les commerçants vous ont parlé du processus de l’importation de l’oignon. Mais aussi des faux frais qu’ils payent sur la route. C’est à ce genre d’actions que nous appelons notre ministre», a indiqué le président de l’Aprocaci au sortir de cette visite. Selon lui, le ministre Jean Louis-Billon se préoccupe peu du sort des consommateurs face à la cherté de la vie. Pour preuve, a-t-il fait savoir, depuis sa nomination, il n’a pas encore reçu les associations de consommateurs. Pour lui, la récente sortie du ministre de tutelle est la preuve que ses intérêts personnels priment sur ceux des consommateurs. «J’aurais souhaité que le ministre soit avec moi et que nous visitions le marché pour écouter les commerçants. En faisant sortir leurs difficultés, nous allons comprendre ensemble les causes de la cherté de la vie. Ainsi, lui en tant que ministre pourra remonter le plus facilement possible l’information au gouvernement pour qu’on trouve une solution. Pendant que nous attendons de lui de telles actions, il se bat pour des affaires personnelles… », a souligné Ben N’faly. Avant de fustiger les intermédiaires de l’abattoir de Port-Bouet qui empêchent un contact direct entre les acheteurs et les véritables commerçants. Pour ce qui est de la hausse des couts de l’échalote (oignon), le gérant du port sec, Ouédraogo Abdoulaye a fait savoir que les stocks ont diminué dans les pays d’approvisionnement.
K.Hyacinthe
Inauguré en décembre 2012, le port sec de Williamsville est un espace commercial dédié aux produits vivriers de toutes sortes. Pour Soumahoro Ben N’faly qui entend poursuivre les actions de proximité pour comprendre la hausse des coûts des produits vivriers, ce sont de pareilles actions que le ministre du Commerce Jean Louis Billon devait mener. «Vous êtes venus avec moi et ensemble nous nous sommes imprégnés des difficultés d’approvisionnement des commerçants depuis les pays de l’hinterland. Les commerçants vous ont parlé du processus de l’importation de l’oignon. Mais aussi des faux frais qu’ils payent sur la route. C’est à ce genre d’actions que nous appelons notre ministre», a indiqué le président de l’Aprocaci au sortir de cette visite. Selon lui, le ministre Jean Louis-Billon se préoccupe peu du sort des consommateurs face à la cherté de la vie. Pour preuve, a-t-il fait savoir, depuis sa nomination, il n’a pas encore reçu les associations de consommateurs. Pour lui, la récente sortie du ministre de tutelle est la preuve que ses intérêts personnels priment sur ceux des consommateurs. «J’aurais souhaité que le ministre soit avec moi et que nous visitions le marché pour écouter les commerçants. En faisant sortir leurs difficultés, nous allons comprendre ensemble les causes de la cherté de la vie. Ainsi, lui en tant que ministre pourra remonter le plus facilement possible l’information au gouvernement pour qu’on trouve une solution. Pendant que nous attendons de lui de telles actions, il se bat pour des affaires personnelles… », a souligné Ben N’faly. Avant de fustiger les intermédiaires de l’abattoir de Port-Bouet qui empêchent un contact direct entre les acheteurs et les véritables commerçants. Pour ce qui est de la hausse des couts de l’échalote (oignon), le gérant du port sec, Ouédraogo Abdoulaye a fait savoir que les stocks ont diminué dans les pays d’approvisionnement.
K.Hyacinthe