L’arrestation de Justin Koua, secrétaire national par intérim de la Jfpi, la semaine dernière n’est pas du goût de ses filleuls de la capitale politique et administrative. Dans une déclaration à nous transmise, ceux-ci par la voix de leur fédéral, le jeune Rodolphe Sanhin exige sa libération.
« Le vendredi 7 juin, à 20 heures, la section Jfpi Yamoussoukro, a appris avec stupéfaction, l’arrestation arbitraire et injustifiée du camarade secrétaire national Justin Koua.
La section Jfpi de Yamoussoukro déplore et condamne vivement cet enlèvement qui fait honte à la Côte d’Ivoire. En cette période dite de « réconciliation », nous croyons que l’heure n’est plus aux arrestations mais à la liberté d’expression. Les Ivoiriens attendent mieux que les poursuites et arrestations des partisans du président Laurent Gbagbo.
La section Jfpi de Yamoussoukro exige la libération immédiate de notre camarade Justin Koua, secrétaire national de la Jfpi ainsi que tous nos camarades injustement emprisonnés.
La section Jfpi de Yamoussoukro attire l’attention de l’Onuci, des ambassades accréditées en Côte d’Ivoire et de la communauté internationale sur les dérives totalitaires et fascistes du pouvoir en place.
La section Jfpi de Yamoussoukro invite le gouvernement à créer les conditions d’une paix durable et une vraie réconciliation entre les filles et fils de la Côte d’Ivoire », indique la déclaration.
Ouattara Abdul-Mohamed
« Le vendredi 7 juin, à 20 heures, la section Jfpi Yamoussoukro, a appris avec stupéfaction, l’arrestation arbitraire et injustifiée du camarade secrétaire national Justin Koua.
La section Jfpi de Yamoussoukro déplore et condamne vivement cet enlèvement qui fait honte à la Côte d’Ivoire. En cette période dite de « réconciliation », nous croyons que l’heure n’est plus aux arrestations mais à la liberté d’expression. Les Ivoiriens attendent mieux que les poursuites et arrestations des partisans du président Laurent Gbagbo.
La section Jfpi de Yamoussoukro exige la libération immédiate de notre camarade Justin Koua, secrétaire national de la Jfpi ainsi que tous nos camarades injustement emprisonnés.
La section Jfpi de Yamoussoukro attire l’attention de l’Onuci, des ambassades accréditées en Côte d’Ivoire et de la communauté internationale sur les dérives totalitaires et fascistes du pouvoir en place.
La section Jfpi de Yamoussoukro invite le gouvernement à créer les conditions d’une paix durable et une vraie réconciliation entre les filles et fils de la Côte d’Ivoire », indique la déclaration.
Ouattara Abdul-Mohamed