Abidjan - Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama, a annoncé vendredi à M’pouto, lors de la cérémonie d’inauguration de l’Office national du cinéma de Côte d’Ivoire (ONAC-CI), parrainée par le Premier ministre Kablan Duncan, qu’il promet de rehausser le cinéma ivoirien qui est dans l’impasse, avec l’apport de tous les acteurs des arts et de la culture.
"Le secteur du cinéma en Côte d’Ivoire est dans l’impasse depuis plus d’une vingtaine d’années, non pas par manque d’acteurs et de réalisateurs de talents, ni de techniciens performants, mais (…) à cause de la profonde crise qui a secoué notre pays pendant plusieurs années et l’absence d’une politique volontariste de développement des industries culturelles en général et du cinéma en particulier ", a-t-il relevé.
Le ministre a mentionné quelques lauréats dont les Yennega d’or et de bronze remportés par la Côte d’Ivoire au FESPACO de Ouagadougou.
"Alors que dans les années 70 et 80, notre pays disposait de plusieurs dizaines de salles de cinéma sur l’ensemble du territoire (environ 200) et Abidjan une cinquantaine, aujourd’hui, le pays ne possède pas une vingtaine de salles de qualité et Abidjan n’a que deux salles fonctionnelles de 200 places", a déploré le ministre de la Culture.
Il dit compter sur l’aide du Gouvernement, des financiers privés et des hommes de talents dont dispose le cinéma ivoirien, pour changer les choses.
"Avec enthousiasme, avec abnégation, avec foi, confiants en l’avenir radieux de notre pays, sous la conduite du Président Alassane Ouattara (…), nous prenons l’engagement, avec l’ensemble des cinéastes ivoiriens (…) de faire venir sur les bords de la lagune ébrié, au prochain FESPACO, en févier 2015, au moins deux Yennega d’or en long et en court métrages et de nombreux autres prix de Ouagadougou", a promis le ministre de la Culture et de la Francophonie qui a annoncé de grandes innovations au niveau des infrastructures culturelles.
Cette cérémonie inaugurale a enregistré la présence de tous les acteurs nationaux des arts et de la culture , ainsi qu’une forte délégation du monde de la culture Burkinabè avec à sa tête le ministre de la Culture et du Tourisme du Burkina Faso, M. Baba Hama.
"Le secteur du cinéma en Côte d’Ivoire est dans l’impasse depuis plus d’une vingtaine d’années, non pas par manque d’acteurs et de réalisateurs de talents, ni de techniciens performants, mais (…) à cause de la profonde crise qui a secoué notre pays pendant plusieurs années et l’absence d’une politique volontariste de développement des industries culturelles en général et du cinéma en particulier ", a-t-il relevé.
Le ministre a mentionné quelques lauréats dont les Yennega d’or et de bronze remportés par la Côte d’Ivoire au FESPACO de Ouagadougou.
"Alors que dans les années 70 et 80, notre pays disposait de plusieurs dizaines de salles de cinéma sur l’ensemble du territoire (environ 200) et Abidjan une cinquantaine, aujourd’hui, le pays ne possède pas une vingtaine de salles de qualité et Abidjan n’a que deux salles fonctionnelles de 200 places", a déploré le ministre de la Culture.
Il dit compter sur l’aide du Gouvernement, des financiers privés et des hommes de talents dont dispose le cinéma ivoirien, pour changer les choses.
"Avec enthousiasme, avec abnégation, avec foi, confiants en l’avenir radieux de notre pays, sous la conduite du Président Alassane Ouattara (…), nous prenons l’engagement, avec l’ensemble des cinéastes ivoiriens (…) de faire venir sur les bords de la lagune ébrié, au prochain FESPACO, en févier 2015, au moins deux Yennega d’or en long et en court métrages et de nombreux autres prix de Ouagadougou", a promis le ministre de la Culture et de la Francophonie qui a annoncé de grandes innovations au niveau des infrastructures culturelles.
Cette cérémonie inaugurale a enregistré la présence de tous les acteurs nationaux des arts et de la culture , ainsi qu’une forte délégation du monde de la culture Burkinabè avec à sa tête le ministre de la Culture et du Tourisme du Burkina Faso, M. Baba Hama.