Après les visites effectuées par les quatre experts chinois les samedi 15 et dimanche 16 juin 2013 sur plusieurs sites retenus pour la production de riz sur le District d’Abidjan, la journée du mardi 18 juin 2013 a été consacrée à la présentation du projet dans sa globalité.
La cérémonie qui s’est déroulée à la salle Delafosse du District a été l’occasion pour le Gouverneur, M Robert Beugré Mambé d’exprimer face à l’Ambassadeur de Chine dans notre pays, SEM Zhang Guoqing quatre vœux qui lui tiennent à cœur : « Un : aidez-nous à la réalisation de ce projet dans les plus brefs délais parce que le Président de la République nous demande des actions concrètes car lui-même est un homme concret ; deux : aidez-nous à trouver la meilleure technique pour qu’à partir d’une petite superficie nous ayons une forte production ; trois : aidez-nous à faire de la production bio de sorte à protéger l’environnement ; quatre :aidez-nous enfin à former les jeunes ivoiriens qui vont prendre la relève ».
Pour le Gouverneur, si la Chine qui compte 1,5 milliards d’habitants parvient à se nourrir jusqu’à exporter le surplus de sa production, la Côte d’Ivoire dont la population avoisine les 20 millions d’habitants doit aussi pouvoir le faire d’autant plus que, selon lui, la volonté politique existe déjà au plus haut sommet de l’Etat, les ressources humaines et les terres existent également, poursuit-il. Il ne reste plus que l’expertise et la technicité de ceux qui ont déjà relevé ce défi pour engager véritablement les choses.
C’est pourquoi, il s’est réjoui que son invitation ait été entendue par la Chine qui a accepté d’envoyer sur les bords de la lagune ébrié quatre experts : des universitaires, de grands chercheurs, de grands producteurs de riz et de chefs d’entreprises spécialisées dans l’agroalimentaire, pour appuyer la capitale économique ivoirienne dans la réalisation de ce projet qui vise, au delà de la politique de l’autosuffisance alimentaire prônée par le Président de la République, à créer des richesses et réduire ainsi le fossé de la pauvreté.
De son côté, le diplomate chinois s’est dit heureux de l’ouverture d’esprit du Gouverneur et a surtout salué le professionnalisme avec lequel il conçoit ses projets d’intérêt national. Il s’est aussi félicité du jumelage entre le District Autonome D’Abidjan et une célèbre commune chinoise. Relativement à l’objet de sa présence ce jour au District, il a reconnu que la relance économique en Côte d’Ivoire était bel et bien une réalité. Et que ce projet qui tient tant au Président de la République et au Gouverneur sera pleinement et entièrement soutenu par son pays depuis sa phase d’études jusqu’à la fin du processus en passant par tous les autres paramètres liés à l’exécution de ce vœu. Il a aussi demandé à ses compatriotes présents, grâce à qui son pays continue à produire une bonne quantité de riz par leurs recherches agronomiques, d’accompagner ce projet.
Notons que ce projet d’exploitation de 2000 hectares de terres, conduit avec l’appui de l’Office National du Développement Rizicole (ONDR), le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) et l’Anader, concerne les villages de hiro-lamé, d’Akoupé Zeudji et d’Ahoué. Les sites ont été récemment visités par les experts chinois pour analyser le sol et la pluviométrie qu’ils ont jugés « adéquats » pour la production de riz non seulement de qualité mais aussi et surtout en quantité.
Source : DIRCOM DISTRICT AUTONOME D’ABIDJAN
La cérémonie qui s’est déroulée à la salle Delafosse du District a été l’occasion pour le Gouverneur, M Robert Beugré Mambé d’exprimer face à l’Ambassadeur de Chine dans notre pays, SEM Zhang Guoqing quatre vœux qui lui tiennent à cœur : « Un : aidez-nous à la réalisation de ce projet dans les plus brefs délais parce que le Président de la République nous demande des actions concrètes car lui-même est un homme concret ; deux : aidez-nous à trouver la meilleure technique pour qu’à partir d’une petite superficie nous ayons une forte production ; trois : aidez-nous à faire de la production bio de sorte à protéger l’environnement ; quatre :aidez-nous enfin à former les jeunes ivoiriens qui vont prendre la relève ».
Pour le Gouverneur, si la Chine qui compte 1,5 milliards d’habitants parvient à se nourrir jusqu’à exporter le surplus de sa production, la Côte d’Ivoire dont la population avoisine les 20 millions d’habitants doit aussi pouvoir le faire d’autant plus que, selon lui, la volonté politique existe déjà au plus haut sommet de l’Etat, les ressources humaines et les terres existent également, poursuit-il. Il ne reste plus que l’expertise et la technicité de ceux qui ont déjà relevé ce défi pour engager véritablement les choses.
C’est pourquoi, il s’est réjoui que son invitation ait été entendue par la Chine qui a accepté d’envoyer sur les bords de la lagune ébrié quatre experts : des universitaires, de grands chercheurs, de grands producteurs de riz et de chefs d’entreprises spécialisées dans l’agroalimentaire, pour appuyer la capitale économique ivoirienne dans la réalisation de ce projet qui vise, au delà de la politique de l’autosuffisance alimentaire prônée par le Président de la République, à créer des richesses et réduire ainsi le fossé de la pauvreté.
De son côté, le diplomate chinois s’est dit heureux de l’ouverture d’esprit du Gouverneur et a surtout salué le professionnalisme avec lequel il conçoit ses projets d’intérêt national. Il s’est aussi félicité du jumelage entre le District Autonome D’Abidjan et une célèbre commune chinoise. Relativement à l’objet de sa présence ce jour au District, il a reconnu que la relance économique en Côte d’Ivoire était bel et bien une réalité. Et que ce projet qui tient tant au Président de la République et au Gouverneur sera pleinement et entièrement soutenu par son pays depuis sa phase d’études jusqu’à la fin du processus en passant par tous les autres paramètres liés à l’exécution de ce vœu. Il a aussi demandé à ses compatriotes présents, grâce à qui son pays continue à produire une bonne quantité de riz par leurs recherches agronomiques, d’accompagner ce projet.
Notons que ce projet d’exploitation de 2000 hectares de terres, conduit avec l’appui de l’Office National du Développement Rizicole (ONDR), le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) et l’Anader, concerne les villages de hiro-lamé, d’Akoupé Zeudji et d’Ahoué. Les sites ont été récemment visités par les experts chinois pour analyser le sol et la pluviométrie qu’ils ont jugés « adéquats » pour la production de riz non seulement de qualité mais aussi et surtout en quantité.
Source : DIRCOM DISTRICT AUTONOME D’ABIDJAN
