Le gouvernement ivoirien et l’Agence française de développement (Afd) sont en discussion pour trouver des moyens d’accélération du processus de consommation du budget du contrat de désendettement et de développement (C2D) au titre de l’année 2013.
Le séminaire de réflexion sur le C2D ouvert lundi et qui se poursuivra jusqu'au mercredi dans la capitale économique ivoirienne est motivé par un ralentissement constaté par le Secrétariat Technique du C2D (ST-C2D) dans le cadre de l'exécution des projets. Puisqu'à ce jour, explique-t-on, "la plupart des projets est à la phase d'instruction".
La coordonnatrice du ST-C2D, Mme Datié née Léa Djatti, a indiqué qu'au "rythme actuel d'instruction des projets, uniquement 60% du budget 2013 pourra être consommé".
Le C2D couvre un montant global de 1900 milliards FCFA dont selon les prévisions 413,25 milliards FCFA sont prévues pour la période 2012-2015.
Ce séminaire de réflexion sur le C2D va ainsi proposer " des pistes d'accélération de la consommation du budget" dudit contrat au titre de l'exercice 2013 en vue de "contribuer significativement à l'amélioration des conditions de vie des populations ivoiriennes.
Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan qui a réaffirmé l'engagement et la disponibilité du gouvernement ivoirien à remplir sa part de responsabilité pour atteindre les objectifs escomptés, a invité au cours de la cérémonie d'ouverture, les acteurs impliqués à davantage d'efforts pour venir à bout de ce processus, en vue de préparer en 2014, le C2D de la période 2016-2020.
Les projets regroupés sous huit grands ensembles sont entre autre "Education-formation-emploi ; Santé ; Agriculture-développement durable-biodiversité ; développement urbain ; Infrastructures et transport ; Justice et Etat de droit".
Selon la ligne de conduite établie par l'Afd, tous les projets contenus dans ces grands ensembles sont soumis au conseil d'administration de l'institution française, pour examiner leur faisabilité, avant d'être exécutés.
Des personnalités politiques ivoiriennes et françaises, des personnes ressources issues de plusieurs institutions et départements ministériels, des délégués du patronat et de la société civile, ainsi que des délégués de l'Ambassade de France, prennent part aux travaux.
Le C2d a été signé le 1er décembre 2012 entre l'Etat de Côte d' Ivoire et l'Etat français à Abidjan. Il s'agit d'un "mécanisme d'annulation des créances d'Aide Publique au Développement (Apd) qui se traduit par "un refinancement par dons, des échéances de la dette remboursée par la Côte d'Ivoire".
Le séminaire de réflexion sur le C2D ouvert lundi et qui se poursuivra jusqu'au mercredi dans la capitale économique ivoirienne est motivé par un ralentissement constaté par le Secrétariat Technique du C2D (ST-C2D) dans le cadre de l'exécution des projets. Puisqu'à ce jour, explique-t-on, "la plupart des projets est à la phase d'instruction".
La coordonnatrice du ST-C2D, Mme Datié née Léa Djatti, a indiqué qu'au "rythme actuel d'instruction des projets, uniquement 60% du budget 2013 pourra être consommé".
Le C2D couvre un montant global de 1900 milliards FCFA dont selon les prévisions 413,25 milliards FCFA sont prévues pour la période 2012-2015.
Ce séminaire de réflexion sur le C2D va ainsi proposer " des pistes d'accélération de la consommation du budget" dudit contrat au titre de l'exercice 2013 en vue de "contribuer significativement à l'amélioration des conditions de vie des populations ivoiriennes.
Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan qui a réaffirmé l'engagement et la disponibilité du gouvernement ivoirien à remplir sa part de responsabilité pour atteindre les objectifs escomptés, a invité au cours de la cérémonie d'ouverture, les acteurs impliqués à davantage d'efforts pour venir à bout de ce processus, en vue de préparer en 2014, le C2D de la période 2016-2020.
Les projets regroupés sous huit grands ensembles sont entre autre "Education-formation-emploi ; Santé ; Agriculture-développement durable-biodiversité ; développement urbain ; Infrastructures et transport ; Justice et Etat de droit".
Selon la ligne de conduite établie par l'Afd, tous les projets contenus dans ces grands ensembles sont soumis au conseil d'administration de l'institution française, pour examiner leur faisabilité, avant d'être exécutés.
Des personnalités politiques ivoiriennes et françaises, des personnes ressources issues de plusieurs institutions et départements ministériels, des délégués du patronat et de la société civile, ainsi que des délégués de l'Ambassade de France, prennent part aux travaux.
Le C2d a été signé le 1er décembre 2012 entre l'Etat de Côte d' Ivoire et l'Etat français à Abidjan. Il s'agit d'un "mécanisme d'annulation des créances d'Aide Publique au Développement (Apd) qui se traduit par "un refinancement par dons, des échéances de la dette remboursée par la Côte d'Ivoire".