Abidjan (Côte d’Ivoire)- L’approche genre dans la résolution des conflits et des processus électoraux en Afrique de l’Ouest a été sollicitée mardi au cours d’une rencontre initiée à Dakar par le Centre pour le Dialogue Humanitaire (CDH), une organisation indépendante, basée à Genève, en Suisse et ayant pour objectifs, la résolution pacifique des conflits armés dans les régions du Sahel.
Cette rencontre qui se tient autour du thème, ‘’ inclusion et processus de négociation au Mali’’, inclura des femmes et des hommes, représentants différents segments de la population malienne, des réfugiés et déplacés, et issus de la diaspora, des civils, des militaires, des élus et des officiels.
Elle permettra aux femmes maliennes d’engager une discussion sur le Mali ‘’de demain’’ avec les différents invités à cette occasion et de dégager des principes communs en termes économiques, sociaux et politiques.
Ceux-ci pourraient alors être soumis aux négociateurs comme cadre de réflexion et constituer un élément central de la négociation en s’assurant que les préoccupations et les besoins des femmes soient bien pris en compte.
Pour les assises de Dakar, des femmes de haut niveau de la sous-région ayant dû faire face à ce même type de défis sont invitées à prendre part à la rencontre afin de partager leurs expériences et d’élargir au niveau régional, la réflexion sur l’inclusion des femmes dans les processus de négociation au-delà du seul cadre malien.
Parmi elles, on note la présence de Dr Fatoumata Traoré-Diop, ex-Vice-présidente de la Commission électorale indépendante (CEI) de la Côte d’Ivoire dont la communication est très attendue.
L’experte ivoirienne, également cadre des Forces Nouvelles (ex-rébellion des Forces Nouvelles), ayant participé à différentes négociations dans la crise ivoirienne a l’occasion d’instruire les participants sur le cas ivoirien.
La réunion qui prend fin jeudi, après des travaux en ateliers suivis de plénières, devra déboucher sur des recommandations qui devront être portées au plus haut niveau de chaque pays et auprès des organisations régionales et internationales.
Le Mali va organiser des élections présidentielles puis législatives et communales qui devraient permettre aux femmes de faire des propositions constructives en termes de gouvernance locale et nationale.
Cette rencontre qui se tient autour du thème, ‘’ inclusion et processus de négociation au Mali’’, inclura des femmes et des hommes, représentants différents segments de la population malienne, des réfugiés et déplacés, et issus de la diaspora, des civils, des militaires, des élus et des officiels.
Elle permettra aux femmes maliennes d’engager une discussion sur le Mali ‘’de demain’’ avec les différents invités à cette occasion et de dégager des principes communs en termes économiques, sociaux et politiques.
Ceux-ci pourraient alors être soumis aux négociateurs comme cadre de réflexion et constituer un élément central de la négociation en s’assurant que les préoccupations et les besoins des femmes soient bien pris en compte.
Pour les assises de Dakar, des femmes de haut niveau de la sous-région ayant dû faire face à ce même type de défis sont invitées à prendre part à la rencontre afin de partager leurs expériences et d’élargir au niveau régional, la réflexion sur l’inclusion des femmes dans les processus de négociation au-delà du seul cadre malien.
Parmi elles, on note la présence de Dr Fatoumata Traoré-Diop, ex-Vice-présidente de la Commission électorale indépendante (CEI) de la Côte d’Ivoire dont la communication est très attendue.
L’experte ivoirienne, également cadre des Forces Nouvelles (ex-rébellion des Forces Nouvelles), ayant participé à différentes négociations dans la crise ivoirienne a l’occasion d’instruire les participants sur le cas ivoirien.
La réunion qui prend fin jeudi, après des travaux en ateliers suivis de plénières, devra déboucher sur des recommandations qui devront être portées au plus haut niveau de chaque pays et auprès des organisations régionales et internationales.
Le Mali va organiser des élections présidentielles puis législatives et communales qui devraient permettre aux femmes de faire des propositions constructives en termes de gouvernance locale et nationale.
