Le gouvernement ivoirien a sollicité jeudi, l’appui financier des bailleurs de fonds pour la réalisation d’infrastructures hydrauliques afin d’améliorer l’accès des populations ivoiriennes à l’eau potable.
Cette problématique d’accès à l’eau potable se trouve au centre d’une table ronde, ouverte jeudi et qui s’est poursuivie jusqu’à hier vendredi dans un grand hôtel de la capitale économique du pays, entre les partenaires au développement du secteur de l’eau potable en Côte d’Ivoire.
Ces travaux doivent à terme mobiliser des moyens financiers pour la réalisation d’infrastructures en vue de l’approvisionnement des populations d’Abidjan et de l’intérieur du pays, en eau potable.
Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, qui présidait la cérémonie d’ouverture, a indiqué que cette initiative rentre dans le cadre des objectifs du millénaire (OMD) en son point sept, qui stipule qu’au moins 80% des populations aient accès à l’eau potable à l’horizon 2015.
Mais en Côte d’Ivoire, le constat actuel est "alarmant", car seulement, "789 localités sur 1194 " sont desservies en eau potable soit 66% avec des coupures intempestives. Plus de "4000 localités de plus de 4000 habitants ne disposent pas encore d’infrastructures hydrauliques modernes", a déploré le Chef du gouvernement ivoirien. "(...) seulement 11% des villages éligibles ont accès à l’eau potable", a-t-il ajouté.
‘’A ce rythme, l’atteinte de cet objectif du millénaire en 2015 sera compromise’’, a prévenu, M. Duncan, relevant que pour y remédier, la bagatelle somme de 645 milliards de fcfa est nécessaire.
L’organisation de cette table ronde à laquelle ont pris part des institutions telles que l’Union européenne (UE), l’Ambassade de France, l’Agence Française de développement (AFD), la Banque Islamique de Développement (BID), la Société Financière Internationale (SFI), la Banque Mondiale, la Banque Ouest Africaine de développement (BOAD), s’inscrit dans cette perspective.
Cette problématique d’accès à l’eau potable se trouve au centre d’une table ronde, ouverte jeudi et qui s’est poursuivie jusqu’à hier vendredi dans un grand hôtel de la capitale économique du pays, entre les partenaires au développement du secteur de l’eau potable en Côte d’Ivoire.
Ces travaux doivent à terme mobiliser des moyens financiers pour la réalisation d’infrastructures en vue de l’approvisionnement des populations d’Abidjan et de l’intérieur du pays, en eau potable.
Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, qui présidait la cérémonie d’ouverture, a indiqué que cette initiative rentre dans le cadre des objectifs du millénaire (OMD) en son point sept, qui stipule qu’au moins 80% des populations aient accès à l’eau potable à l’horizon 2015.
Mais en Côte d’Ivoire, le constat actuel est "alarmant", car seulement, "789 localités sur 1194 " sont desservies en eau potable soit 66% avec des coupures intempestives. Plus de "4000 localités de plus de 4000 habitants ne disposent pas encore d’infrastructures hydrauliques modernes", a déploré le Chef du gouvernement ivoirien. "(...) seulement 11% des villages éligibles ont accès à l’eau potable", a-t-il ajouté.
‘’A ce rythme, l’atteinte de cet objectif du millénaire en 2015 sera compromise’’, a prévenu, M. Duncan, relevant que pour y remédier, la bagatelle somme de 645 milliards de fcfa est nécessaire.
L’organisation de cette table ronde à laquelle ont pris part des institutions telles que l’Union européenne (UE), l’Ambassade de France, l’Agence Française de développement (AFD), la Banque Islamique de Développement (BID), la Société Financière Internationale (SFI), la Banque Mondiale, la Banque Ouest Africaine de développement (BOAD), s’inscrit dans cette perspective.